Suite à la pandémie mondiale de SARS-CoV-2, il semble désormais évident aux yeux du plus grand nombre que la vie doit primer sur toute autre considération économique ou financière. Cette question est l’une de celles qui a le plus alimenté les débats pendant le confinement. Mais, ce n’est pas la seule vie humaine qui doit être (re)valorisée, c’est LA VIE tout court, celle de l’ensemble des animaux et des végétaux qui doit se trouver tout en haut de l’échelle des valeurs puisque si les conditions indispensables aux différentes formes de vie sont trop gravement altérées (nous y sommes déjà) ou si trop d’espèces disparaissent (nous y sommes déjà), c’est la vie tout court qui est compromise, la nôtre comme celle de l’ensemble des membres de la famille du vivant qui habitent actuellement la Terre.

Si la vie est infiniment précieuse, la mort est forcément inéluctable ! Or, avec l’incroyable accélération de notre civilisation moderne et le doublement de l’espérance de vie en à peine 200 ans, la mort nous est devenue insupportable, y compris lorsqu’elle touche des personnes d’un âge certain. L’artificialisation de la vie humaine nous a fait perdre de vue le sens commun, notamment celui du terme naturel de notre existence. Notre peur du Covid-19 est certes irrationnelle – comme le sont toutes les peurs – mais surtout absurde par rapport aux chocs à venir !

Nous vivons bel et bien une épode de dingues dans un monde de fous !

NOUS NE POUVONS PAS « JOUER » INDÉFINIMENT ET IMPUNÉMENT AVEC LA VIE !

Où est réellement né ce « nouveau » Coronavirus ? Sans doute dans la ville chinoise de Wuhan, mais où exactement ? Au sein du « marché aux poissons » ou « marché de gros de fruits de mer » (eh oui, pour nos ami·e·s chinois·e·s de Wuhan, la chauve-souris et le pangolin sont des animaux marins tout comme le serpent, le rat, le renard, le crocodile, le louveteau, le paon, le porc-épic ou la salamandre !) ou dans le laboratoire de virologie fruit d’une étroite collaboration entre la Chine et… la France ? S’est-il transmis, comme son grand frère SARS-CoV (celui à l’origine du SRAS à Hong-Kong en 2002) et d’autres virus avant lui, d’un animal non humain à l’humain, au cœur d’un marché réunissant des conditions dramatiques de promiscuité et d’hygiène, entre individus vivants et morts d’espèces qui n’ont pas l’habitude de se côtoyer dans la nature ? Ou est-ce le fruit d’une fuite malheureuse d’un coronavirus créé de toute pièce par des chercheurs·euses à la quête du Graal, le fameux vaccin contre le VIH ? Qui est le coupable : la vicieuse chauve-souris ou le retors pangolin ? NON, quelque soit la véritable origine – que nous ne connaitrons peut-être jamais – le seul et unique coupable dans cette affaire est un tout autre animal, le cruel et criminel humain !!! Oui, reconnaissons-le, nous sommes le cancer de notre planète, son virus dévastateur et inarrêtable ! Que nous détruisions les habitats naturels, que nous éradiquions certaines espèces pour leur chair, leur peau, leur fourrure, leurs plumes, leurs queues, leurs défenses, leur corne, leurs vertus thérapeutiques ou aphrodisiaques, que nous les mangions ou que nous en fassions des trophées, nous anéantissons les autres formes de vie avec méthode et détermination. Que nous déplacions des espèces d’un milieu à un autre ; que nous les exterminions au harpon, au filet, à l’électricité, au fusil ou à la glue ; que nous fassions des expériences sur certains êtres vivants pour tester des remèdes dans le but de guérir nos maladies ; que nous les entassions comme de vulgaires marchandises dans des enclos, des cages, des animaleries, des abattoirs ou des marchés ; notre rapport aux animaux non humains est déplorable, lamentable, abominable. Que nous manipulions la vie – celle de virus pour fabriquer des vaccins humains, celle de végétaux pour en créer d’autres plus « résistants » (OGM) ou celle d’animaux pour rendre leur chair plus appétissante – est, lorsque l’on y réfléchit d’un peu plus près, tout à fait irresponsable. Oui, c’est bel et bien le fantastique « progrès » humain que je n’hésite pas une seule seconde à remettre totalement en question !

Comment peut-on encore aujourd’hui, en 2020, parler de « progrès » lorsque l’on sait qu’il tire son essence même de la manipulation, de l’exploitation, de l’annihilation du vivant ? Non, aucune vie ne peut être sacrifiée pour exalter nos papilles, décorer nos intérieurs, ni même pour sauver une vie humaine. Non, aucune vie n’est plus importante qu’une autre. La vie d’une vache, d’un cochon, d’un mouton ou celle d’un poulet est aussi importante que celle d’un chat, d’un chien ou… d’un humain ! La vie d’un veau, d’un porcelet ou celle d’un agneau est aussi précieuse que celle d‘un bébé ou d’un enfant humain ! La vie d’une araignée, d’un ver de terre, d’un rat, d’un requin ou d’une baleine aussi utile aux fragiles équilibres écosystémiques de notre planète que celle d’un koala, d’un panda, d’un lion, d’un dauphin, d’un ours polaire ou d’une abeille !

Comment peut-on encore qualifier certains membres de la famille du vivant de « nuisibles » alors qu’aucune ne l’est autant que notre propre espèce ?

Comment peut-on encore acheter et posséder un animal de compagnie ? La vie ne s’achète pas. Les animaux qui habitent nos fermes, nos appartements, nos zoos et aquariums ne nous appartiennent pas ! Ils ne peuvent être notre propriété. Exploiter la vie d’un animal non humain est une forme d’esclavage. Il est temps de ré-envisager totalement, humblement, respectueusement notre rapport au vivant.

NOUS N’ACCEPTONS PLUS LA MORT. ELLE FAIT POURTANT PARTIE DE LA VIE !

Attention, je prends ici le risque de ne pas être du tout « politiquement correct », tout en précisant bien entendu que je ne souhaite la mort de personne et que toute disparition d’un être cher est bien entendu toujours très triste.

Il me semble pour le moins étonnant de voir ce que les humains aux quatre coins du globe ont pu accepter en matière de sacrifices et de privation de libertés pour sauver quelques dizaines de milliers de vies, de surcroit celles des plus âgé·e·s d’entre nous. Car, oui, nous le savons, le SARS-CoV-2 a été principalement fatal pour les personnes d’un certain âge qui en outre souffraient d’obésité, d’insuffisance respiratoire ou cardiaque.

C’est assez désolant de voir autant de restrictions de liberté pour un virus qui certes tue, mais qui n’est rien comparé à la pollution atmosphérique (67 000 victimes par an en France, 800 000 en Europe et 9 millions dans le monde), la faim (25 000 personnes, dont plus de 10 000 enfants par jour, soit 9,125 millions dont plus de 3,65 millions d’enfants par an), la pauvreté, certaines maladies comme le paludisme (plus de 400 000 victimes par an) et toutes les conséquences présentes et futures liées au dérèglement climatique (200 000 à plus d’un milliard de réfugié·e·s climatique dans les 30 prochaines années) et à l’effondrement global (migrations, guerres, famines, épidémies).

L’un des problèmes majeurs de notre société moderne, shootée à l’or noir et accro au sacro-saint progrès technologique, c’est que nous n’acceptons plus la mort. Enfin, il convient bien sûr de préciser que nous parlons ici de la mort humaine, car pour ce qui est de la mort des autres espèces animales ou végétales, la grande majorité des humains s’en contrefout… Nous avons perdu de vue que la mort faisait partie de la vie. Elle lui donne même toute sa saveur, à condition bien entendu de ne pas en profiter pour tout dézinguer sur Terre. Quel sens aurait donc la vie si elle était éternelle ? À l’état naturel, sans artifice, la vie de tout animal ou de tout végétal est limitée. L’une de ses principales raisons d’être est d’être elle-même transmise d’une génération à une autre au sein de chaque espèce. Dans le règne animal, la vie se transmet par la procréation. Aussi, les membres d’une espèce vivent jusqu’à l’âge où ils peuvent transmettre la vie. Dans de très nombreuses espèces, la vie ne se poursuit d’ailleurs pas très longtemps après la procréation car elle a alors perdu sa principale raison d’être. En outre, la sélection naturelle écarte de la procréation les individus les moins adaptés à leur environnement à l’instant T. C’est ainsi que ces individus meurent avant d’arriver à l’âge de procréer pour la simple et bonne raison que leur patrimoine génétique n’est pas adapté. Leur mort est un « moyen » trouvé par la nature pour éviter que leur génotype « imparfait » ou « défectueux » ne se transmette à leur progéniture. Le « progrès » médical nous a permis de « court-circuiter » les lois de la sélection naturelle sur ces deux points : permettre la vie d’humains dont le patrimoine héréditaire n’aurait pas dû être transmis et allonger formidablement notre espérance de vie. Dans les deux cas, ces « avancées » sont certes appréciables dans notre condition d’humains, mais totalement artificielles sur le plan purement naturel.

(Crédit Photo : Portrait du naturaliste anglais Charles Darwin par Julia Margaret Cameron)

Encore une fois, je le répète, je ne souhaite la mort de personne. Cependant, je ne peux m’empêcher de soulever une vraie question. Il est évident qu’une pandémie aussi grave que la peste noire ou la grippe espagnole, susceptible de décimer une grande proportion de la population mondiale en frappant indifféremment bébés, enfants et adultes, légitimerait toutes les plus grandes précautions et des décisions tout à fait exceptionnelles pour limiter le nombre de morts. Mais, dans le cas de la pandémie de SARS-CoV-2, n’est-il pas pour le moins délirant d’avoir pris de telles mesures (confinement généralisé, services d’urgence des hôpitaux uniquement dédiés aux malades du Covid-19, fermeture des frontières, arrêt de pans entiers de l’économie, déconfinement surveillé…) pour sauver des personnes qui pour la plupart avaient atteint ou dépassé l’espérance de vie moyenne actuelle (75% des victimes en France avaient plus de 75 ans) et largement l’espérance de vie humaine normale si nous n’avions pas contrecarré les lois naturelles ?

J’en profite pour partager quelques informations utiles et chiffres intéressants concernant l’évolution de l’espérance de vie. Jusqu’à il y a 30 000 ans, très rares étaient nos ancêtres qui dépassaient les 30 ans. Lors du Paléolithique supérieur, la démographie humaine connaît une première explosion avec la multiplication des personnes « âgées », celles dépassant les 30 ans et devenant ainsi grands-parents, d’avantage protégées pour transmettre les savoirs essentiels, comme a pu le démontrer Rachel Caspari, anthropologue à l’Université de Central Michigan. Si l’espérance de vie a doublé sur les 150 dernières années, c’est essentiellement en raison de la baisse considérable de la mortalité infantile du fait notamment du « progrès » médical : accouchement médicalisé et vaccination généralisée à la naissance, opérations chirurgicales et traitement médicamenteux tout au long de la vie.

En France, l’espérance de vie a plus que triplé depuis le milieu du XVIIIème siècle et plus que doublé depuis 1818 : 25 ans en 1740 (date du début des statistiques nationales fiables), 30 ans à la fin du XVIIIème, 37 ans en 1818 en partie grâce à la vaccination contre la variole, 45 ans en 1900, 79,7 ans pour les hommes et 85,6 années pour les femmes en 2019. Au niveau mondial, selon un rapport publié par l’OMS en 2016, l’espérance de vie moyenne est aujourd’hui de 71,4 ans, respectivement 69,1 ans pour les hommes et 73,8 ans pour les femmes.

Mais… ça c’était avant… l’effondrement systémique global mondial ! Oui, s’il y a bien une conséquence directe inéluctable des chocs systémiques à venir, c’est indéniablement la diminution drastique de l’espérance de vie, n’en déplaise aux transhumanistes et à toutes celles et tous ceux qui rêvent de vie éternelle. Avec la multiplication inévitable des famines, épidémies et guerres, la démographie humaine va dramatiquement chuter dans les prochaines années et le Covid-19 n’y sera pour rien. Et la descente énergétique affectera forcément la médecine et les hôpitaux si ces derniers se maintiennent pendant la phase finale de l’effondrement, ce qui est peu probable. Inutile d’évoquer les gravissimes impacts qu’auront sur la vie humaine la fin de l’industrie pharmaceutique ou l’arrêt de tout l’appareillage médical par tant de pénurie énergétique et de coupures électriques.

S’il peut donc sembler « normal » en 2020 de sauver la vie des personnes âgées de 90 ou 100 ans, dans quelques années heureux seront les humains qui dépasseront les 50 ans ! Les enfants âgé·e·s aujourd’hui de moins de 20 ans – j’en ai deux – ne les atteindront peut être pas… Le Covid-19 est une vaguelette à côté du tsunami qui arrive !

ENDOCTRINEMENT ET HALLUCINATION COLLECTIVE

« 67 millions de Français et un homme va nous dire ce qu’il faut faire ! Ce sera à 20h.  Il y a quand même quelque chose de suranné dans cette relation maître-élèves !  Alors je pense , avec beaucoup d’autres, que la 5ème République devra mourir comme le Covid-19 .  Parce que le « monde d’après » ne se fera pas avec le « vieux monde » centralisé , descendant , infantilisant , anesthésiant , jupiterien .  La crise sanitaire est en train d’amplifier ce en quoi notre modèle institutionnel et civilisationnel est à bout de souffle . Il viendra donc le temps d’une Constituante pour une République écologique, sociale et démocratique. Et les meilleurs discours du monde n’y changeront rien ! » Jo Spiegel, maire de Kingersheim, sur Facebook le 13 avril 2020

Avec cette crise sanitaire, qui encore une fois ne touche qu’une proportion infime de la population, l’exécutif français, les chaines de désinformation continue et les nouveaux médecins-stars – qui semblent avoir passé plus de temps sur les plateaux de télévision que dans leurs services d’urgences – ont réussi en à peine 2 mois à créer un climat délétère de psychose aussi profonde qu’injustifiée. J’en veux pour preuve la généralisation depuis le début du déconfinement du port du masque dans l’espace public (hors transports où il est obligatoire), notamment par les jeunes entre 15 et 25-30 ans – certain·e·s allant jusqu’à porter des gants – alors même qu’ils·elles ne sont pas directement menacé·e·s par la maladie. Si l’on peut comprendre le port du masque pour protéger les autres dans un espace confiné, comment le comprendre dans des rues désertes ou peu fréquentées, voire pour certain·e·s au volant de leurs voitures alors qu’ils·elles sont seul·e·s à bord… Peut-être ignorent-elles que le virus ne vit pas en suspension dans l’air. Et ils·elles ne connaissent sans doute pas la dangerosité de la pollution atmosphérique (pour rappel 67 000 morts par an). Et quand bien même seraient ils·elles au courant, porteraient-ils·elles pour autant un masque comme les touristes asiatiques que nous regardions naguère d’un air amusé (nous sommes d’accord, les masques actuels ne suffiraient pas, mais ce n’est pas le point) ? Non, ils·elles ne l’ont jamais fait parce que les pouvoirs publics et les médias ne leur ont pas dit/demandé/exigé de le faire. Ces derniers préfèrent évoquer la sécurité routière qui tue 8 fois moins que les gaz émis par les voitures… Nos médias grand public ont sans doute à l’occasion de cette épopée en 3 saisons – saison 1. « Tout est sous contrôle » (pré-confinement), saison 2. « Le monde s’est arrêté ! » (confinement), saison 3. « Sortie à haut risque » (dé-confinement) – battu tous les records en matière d’émissions spéciales (elles l’étaient toutes) et de discussions futiles qui tournent en boucle – Chloroquine ou pas chloroquine ? Pour ou contre Raoult ? Les masques protègent-ils vraiment ? Le monde d’après sera-t-il comme le monde d’avant ? – sans jamais (ou presque) évoquer la question de l’effondrement de notre civilisation. Gageons que les chaines de désinformation continue ne rêvent déjà que d’une saison 4 en mode « Alerte : retour à la maison » (re-confinement).

Dans cette douce folie ayant pour objectif d’entretenir la peur, que dire des mesures invraisemblables prises pour la réouverture des écoles ? L’Éducation nationale a envoyé un « protocole sanitaire » de 56 pages aux établissements scolaires. Mon fils de 13 ans est en 4ème, au sein d’une formidable école alternative, le Collège « Les Pinsons » à Strasbourg. Il était impatient d’y retourner car la philosophie singulière de l’école – qui fonctionne selon le modèle finlandais et mélange les élèves des différentes classes pour leur proposer un travail par projets – lui plait énormément. Déjà frustré que les horaires journalières soient réduites à 2h, il a un peu déchanté lorsqu’il a vu le message de la directrice communiquant les infos concernant la reprise :

« Les 56 pages du protocole sanitaire prévu par l’EN seront respectées. En conséquence, un encadrant sera posté à l’entrée pour accueillir votre enfant d’un pschitt de gel hydro-alcoolique. L’élève se dirigera directement, en suivant le marquage au sol, à son bureau personnel qu’il reconnaitra car son nom sera écrit dessus. Ce dernier sera alors assuré d’être à une distance de 1m30 de son voisin grâce aux … marquages au sol. Enfin, le vestiaire sera fermé et le foyer deviendra une zone de passage uniquement. La cuisine sera désinfectée, comme le reste de l’établissement, et ne servira qu’à se laver les mains. Vous fournirez donc à votre enfant quotidiennement : du gel hydro-alcoolique, un masque propre ou neuf et une gourde personnelle. »

Quant aux récréations dans les cours d’écoles, elles vont sans doute relever du haut vol avec des enfants qui doivent éviter de se toucher ou de trop s’approcher les un·e·s des autres.

Bon, rassurons-nous, la France n’est pas le seul pays où folie et hérésie se disputent la palme de l’absurde. Que penser par exemple de la décision allemande de reprendre coûte que coûte les matchs de Bundesliga (le championnat de football allemand) dans des stades vides pour que les fans puissent ne pas trop s’ennuyer le dimanche après-midi… et que les clubs récupèrent 300 millions d’euros de droits TV ! Cette décision n’a pas été bien accueillie par tout le monde chez nos voisins. De très nombreuses personnes ont stigmatisé les passe-droits dont bénéficie le foot par rapport à d’autres sports collectifs ou le fait que les joueurs soient testés au SARS-CoV 2 avant l’ensemble des soignant·e·s dans les maisons de retraite. Encore une fois, certaines mesures semblent relever de l’hallucination collective : les joueurs sont testés 3 fois par semaine et mis en quarantaine dans des hôtels quelques jours avant chaque match, les ballons sont désinfectés régulièrement pendant les rencontres, les titulaires jouent normalement sur le terrain sans porter de masques et sans respecter la distanciation sociale (un peu compliqué au foot !), pendant que les remplaçants les regardent depuis les tribunes espacés les uns des autres de 3 à 5 sièges avec évidemment port du masque obligatoire ! Logique, non ?

Et si les stades sont vides, les téléspectateurs·trices du diffuseur TV officiel Sky peuvent profiter d’un fond sonore reproduisant l’ambiance des stades avec en prime les chants des supporters… et certains stades ont garni leurs tribunes de supporters en carton. Notons enfin que les clubs allemands ont fait appel aux services de psys pour accompagner les joueurs dans cette configuration inédite.

Bref, du grand n’importe quoi !!! Le délire humain à son paroxysme…

Ce texte est issu de mon livre « Le climat n’est pas le bon combat » que vous pouvez acquérir ici. 😉

Le climat n'est pas le bon combat couverture

(Crédit photo principale : David Tennant on Hamlet – Mark Ellidge)

Pour aller plus loin, voici quelques liens utiles à découvrir sur notre site ressources :