Notre Équipe
Si vous souhaitez rejoindre notre super équipe, écrivez-nous : contact@archipelduvivant.org
Notre équipe opérationnelle
Mathieu Kuntz
Sorcier des transformations souhaitables
Christophe Garnier
Fervant adepte de la croissance de la paix en moi
François Anastasio
Spirituel de l’Idéel, tissant vivant le monde
Claire Largier
Inspiratrice d’émancipations
radicalement joyeuses
Franck Bernard
Vivaliste
et spectateur de l’absurde
Isabelle Clep-Guetny
Tisseuse de ruralités écoféministes
Derek Salmon
Luddiste convivial
et hackeur sobre
Jean-Christophe Anna
Rebelle amoureux du Vivant
et Utopiste biorégional
Sylvaine Anani
Tisserande
d’humanité
Dorian Cavé
Alchimiste de connexions utopiques
Nos enrichisseur·euse·s du site ressources
Nos rédactrices et rédacteurs de contenus enrichissent notre site Ressources.
Leur contribution à l’aventure de L’Archipel du Vivant est infiniment précieuse. Un immense merci à toutes et tous !
Julien Leroux
Citoyen du monde aspirant à 1 soc. respect. du Vivant
Sa bio
Vanessa
Tisseuse de liens et Cata-lysatrice de changement
Sa bio
20 ans d’une vie où j’ai œuvré à incarner les valeurs et visions qui sont les miennes.
Forte d’une prise de conscience dès l’enfance et l’adolescence des enjeux sociétaux et écologiques j’ai passé des années à faire des recherches pour comprendre pourquoi le monde me semblait marcher sur la tête.
Après des études de mathématiques, physique et mécanique, d’une voie tracée pour moi, j’ai pris la décision de partir en sac à dos faire du woofing il y a plus de 15 ans. Durant cet été j’ai, entre autres, rencontré la yourte, découvert la permaculture et les constructions écologiques, ce qui m’a ouvert une nouvelle perspective de vie… Plutôt que lutter contre un système, il fallait que je construise ma vie à côté. J’ai donc arrêté mes études et suis allée faire du maraîchage pour commencer à m’autonomiser.
S’en est suivi plus de 4 ans de vie nomade en camion avant de devenir maman pour la première fois en 2013 et réitèrer en 2014.
Devenir maman m’a obligé à regarder quels enfants je voulais laisser à ce monde et comment faire pour qu’ils y vivent le mieux possible. J’ai donc décidé de pratiquer le maternage proximal, une éducation la plus bienveillante possible et l’instruction en famille en unschooling pure (apprentissages autonomes) tout cela en vivant en habitat léger dans la nature.
Expérience qui a duré jusqu’en septembre 2022 où mes enfants ont voulu tester la « vie normale » en allant à l’école et vivre en maison avec leur père.
Moi qui me consacrais pleinement à eux et qui avais disparu en tant que femme pour n’être que maman, me suis retrouvée avec du temps et un monde à explorer avec ma base de connaissances, compétences et savoir-faire.
Je suis donc repartie faire du woofing où lors de rencontres, notamment avec Jean-Christophe cofondateur de L’Archipel du Vivant, je me suis rendue compte que ma capacité à théoriser ainsi qu’à faire, était potentiellement une valeur ajoutée pour de nombreux projets.
J’ai donc lors de mon arrivée en appartement dans un quartier populaire créé mon entreprise Sunbioo (qui signifie symbiose, notion très importante pour moi).
Deux volets la compose :
- Atalanta une entreprise où je mets mes acquis au service des particuliers, associations, institutions ou entreprises grâce à une vision systémique des enjeux. Comme en permaculture une approche globale plutôt que séparée, fragmentée ou compartimentée et donc non résiliente à plus ou moins long terme.
- Kanuya, mon entreprise de création d’accessoires zéro déchet et en récup. Je propose aussi par ce biais des ateliers autour de cette thématique.
De plus, mon expérience dans le milieu alternatif a fait émerger l’association Tiss’Age Alter’Natif que nous sommes en train de mettre en place avec des amis. L’objectif principal de cette asso est de permettre un inventaire des initiatives alternatives à ce monde insensé afin de s’appuyer sur l’existant pour mener des projets ensemble qui permettront de rayonner au-delà d’un milieu spécifique. Comme je vous l’ai dit plus haut le phénomène symbiotique est important pour moi.
Le mouvement post urbain et le travail sur les bioregions m’intéressent énormément mais pour commencer, arrivant dans un quartier prioritaire et appliquant toujours les principes permaculturels, le travail de coordination va permettre de mettre en place des projets adaptés aux personnes précaires qui ne sont pas sensibilisés aux enjeux écologiques car submergées par les enjeux économiques.
Tout cela n’est qu’à son lancement mais l’émulation est là. L’envie et le plaisir de faire aussi.
Reste à savoir où tout cela va me mener…
Mais pour l’instant, je contribue à L’Archipel du Vivant en rédigeant du contenu pédagogique en plus de mes autres activités.
Rachel Gaultier
Furtive heureuse
et vivante curieuse
Sa bio
Je prends le temps vivre. J’ai conscience de ma chance et je veux en profiter pour participer au changement. J’aimerais rendre service au Vivant pour lui redonner en partie ce qu’il m’offre… Et mes missions au sein de l’Archipel du Vivant y contribuent.
Mon quotidien est fait d’expérimentations, de low-techs, de jeux, de lectures, de partages, de réflexions, de missions variées pour des associations locales, ou des organismes publics…
Parce que sobriété et légèreté vont de pair, je me laisse porter au fil des expériences. Si je dois faire des choix, j’espère les faire en conscience pour leur donner du sens.
En attendant ce jour où l’on pourra vivre ensemble, avec et pour les vivants, je continue à multiplier mes actions et je ne perds pas espoir !
Ivana Hruszowiec
Lutine révoltée et apprentie chercheuse déterminée
Sa bio
Après un faux départ en classe préparatoire commerce, qui m’a ouvert les yeux sur ce système hors-sol qui entend organiser la vie humaine et sociale, mes différentes prises de conscience écologiques et humaines me mènent vers le militantisme écologiste et l’anthropologie. Je découvre avec le militantisme que l’écologie ne concerne pas que la nature ; que nous sommes des milliers à nous soucier des enjeux de justice climatique et sociale et de la disparition du Vivant ; qu’un autre monde émerge bel et bien un peu partout. J’apprends avec l’anthropologie à faire un pas de côté sur ce que je sais ou crois savoir, et j’apprends que toutes les représentations et valeurs qui construisent la vie sociale que nous connaissons peuvent être interrogées, déplacées, renouvelées.
Ces réalisations construisent peu à peu en moi la conviction qu’une alternative est non seulement possible mais aussi et surtout nécessaire. J’avance donc avec ce sentiment qui me porte et avec le besoin de faire partie de la construction de quelque chose d’autre.
Construisons d’autres manières d’interagir, de nous déplacer, de rêver, de raconter. Construisons des écoles sans murs, des relations aux étiquettes multiples, construisons un rapport à la nature qui nous régénère nous autant qu’elle.
Mes missions au sein de L’Archipel du Vivant entrent en résonance avec l’importance que j’accorde à la transmission et l’éducation : j’écris des contenus pédagogiques ressources, je m’occupe de l’enrichissement global du site internet, et je participe aussi à la réalisation du Jeu grandeur nature D2R – Dealeuses et Dealeurs de Résilience.
Jeanne Sorin
Amoureuse
et Âme curieuse de la Vie
Sa bio
intelligences (cœur, corps, mental, esprit) pour construire le monde que je souhaite voir
demain : un monde plus juste et respectueux du vivant, qui intègre une vision holistique.
En parallèle et à la suite de mes études en information-communication et en FLE, j’ai voyagé
à l’étranger et en France, notamment dans des communautés alternatives. Ces expériences
m’ont permis de découvrir différentes manières de vivre, de faire d’incroyables rencontres,
de me connaitre davantage et de connecter avec mes aspirations profondes. À côté de ça, j’ai
toujours été membre d’associations pour des causes qui me tiennent à cœur : bénévolat à
l’AFEV, à l’école d’écologie intégrative et en tant que professeure de français pour des
personnes réfugiées. Aujourd’hui je rédige des contenus éthiques et engagés sur le web,
j’habite en habitat léger et j’œuvre (avec vous ? 😊 ) pour co-créer un paradigme holistique !
Manon Rolland
Chorégraphe des mots
& ouvreuse d’imaginaires
Sa bio
J’ai longtemps été en colère, contre la société qui fait semblant de ne pas savoir, contre les gens qui savent mais n’agissent pas, contre moi qui ne faisais pas assez. Comme c’était fatiguant, j’ai préféré commencer à construire l’après, maintenant : en travaillant dans l’associatif, l’humanitaire et l’éducation populaire, puis en tant qu’enseignante de Lettres au collège, parce que la littérature est un formidable moyen de questionner le présent et d’ouvrir des futurs plus désirables. En écrivant un roman d’anticipation écologique, pour rêver à un monde qui a su se reconstruire après un effondrement. Et puis en fondant un habitat participatif et un tiers-lieu écologiques dans le Jura, le Clos de la Louve, pour y vivre mon utopie et donner envie à d’autres de se lancer dans l’aventure du nouveau monde.
Aline Bué
Journaliste engagée
au service du Vivant
Sa bio
Benoit Bride
Ingénieur énergie et permaculteur
Sa bio
Étant né dans le Jura au milieu des champs et des forêts, je me suis toujours considéré comme un simple élément de la nature, un être vivant parmi d’autres. Il découle de ce sentiment que, pour tout humain doué soi-disant d’intelligence, protéger son cadre de vie devrait être une priorité, car c’est ce cadre qui lui permet de vivre pleinement.
Dans ma première vie d’adulte, j’ai donc travaillé sur des innovations à même de réduire notre impact négatif sur l’environnement, comme ingénieur et chercheur dans la production d’électricité. Mais changer l’industrie de l’intérieur est une gageure, et les années 2000 ont plutôt précipité nos sociétés vers un consumérisme toujours plus prédateur. Je me trouvais dans l’impossibilité de jouer un rôle social positif dans ce cadre industriel, j’ai donc quitté ce domaine pour travailler en indépendant dans la sobriété énergétique.
Puis j’ai découvert la Permaculture en 2017, alors que j’avais déjà bien abordé ma transition personnelle et professionnelle. Comme beaucoup, je pratiquais déjà la Permaculture sans le savoir, mais j’ai tout de suite adoré cette approche globale qui réunissait de nombreux centres d’intérêt, depuis les économies d’énergies jusqu’aux matériaux naturels en passant par le jardinage et l’apiculture…
A partir de ce moment, j’ai intégré les principes permaculturels dans mon activité autour des économies d’énergie dans l’habitat, et aujourd’hui je cherche à approfondir cette approche dans la conception de différents lieux et dans l’expérimentation et la démonstration de low-techs
Notre archipel d’explorateur·ice·s et d’enrichisseur·euse·s
Nos explorateur·ice·s représentent L’Archipel du Vivant dans leurs territoires.
Nos enrichisseur·euse·s partagent leurs témoignages, émotions et points de vue sur notre espace Expression Libre.
Certain·e·s sont à la fois enrichisseur·euse·s et explorateur·ice·s. Un immense merci à toutes et tous !
Anne-Laure Nicolas
Permacultrice humaine
.
Sa bio
Anne-Laure Nicolas est la co-fondatrice et la coordinatrice du Pôle Territorial de Coopération Economique Eco-Domaine Le Bois du Barde situé en Kreiz Breizh (Centre Bretagne). Autodidacte de formation, elle a suivi en parallèle de ses études agricoles, le chemin de l’éducation populaire en devenant animatrice poney, directrice de structure puis responsable enfance pour une collectivité.
Elle a rêvé de la création de son lieu dès son plus jeune âge, et a commencé l’aventure en premier avec sa famille dès 2006 puis en créant le collectif économique à partir de 2011. Elle est aujourd’hui reconnue comme une des spécialistes de la permaculture humaine et sociale en France grâce à son expérience de terrain importante autour de son lieu.
Lætitia Vitaux
Sa bio
1997. Mon père me bassine avec l’écologie. J’ai 17 ans et d’autres chats à fouetter.
2008. Avec mon collègue de master en architecture, on gagne un prix Développement Durable. Je vois pas où est le problème.
2011. Tentative hasardeuse de verdir mon activité en devenant indépendant. Je sens qu’il y a un loup.
2012. Lecture de « Faut-il manger les animaux ? ». J’arrête la viande 3 mois plus tard.
2015. Découverte de la décroissance. Tout s’éclaire. Le développement durable est une farce. La croissance, une religion. Je m’abonne au journal Moins !
2016. Magnifique exposition « Objectif Terre : Vivre l’Anthropocène ». L‘humanité est une force géologique.
2017. Discussions passionnantes au sein du forum technocritique « Nos Futurs ». Le progrès technique est une idéologie qui nous envoie dans le mur.
2018. Plongée dans le milieu collapso (Anna, Keller, Mignerot, Servigne, etc). Les menaces d’effondrements sont sérieuses.
2019. Étonnante conférence « Comment favoriser des comportements plus respectueux de l’environnement ». La psychologie sociale et la communication aiguisent ma curiosité.
2020. Intégration à l’équipe modo d’un groupe collapso pour favoriser les rencontres des membres. Je multi-fresque : Biodiversité, Climat, Economie circulaire, Low-techs, Nouveaux Récits, Numérique, 2 tonnes, etc.
2021. Débranchement de mon frigo et engagement auprès de l’association futurs proches pour stimuler la création de futurs inspirants grâce à l’écriture.
2022. Bifurcation professionnelle (toujours en cours). Auto-formation sur les sujets marketing et communication dans une perspective décroissante.
2023. Formation à l’animation de la fresque des frontières planétaires.
2024. Co-création de Détox ton site, mini-formation pour apprendre aux écolos à créer un site minimaliste et accessible aux personnes en situation de handicap.
Cédric Liardet
Éco-trappiste
.
Sa bio
1997. Mon père me bassine avec l’écologie. J’ai 17 ans et d’autres chats à fouetter.
2008. Avec mon collègue de master en architecture, on gagne un prix Développement Durable. Je vois pas où est le problème.
2011. Tentative hasardeuse de verdir mon activité en devenant indépendant. Je sens qu’il y a un loup.
2012. Lecture de « Faut-il manger les animaux ? ». J’arrête la viande 3 mois plus tard.
2015. Découverte de la décroissance. Tout s’éclaire. Le développement durable est une farce. La croissance, une religion. Je m’abonne au journal Moins !
2016. Magnifique exposition « Objectif Terre : Vivre l’Anthropocène ». L‘humanité est une force géologique.
2017. Discussions passionnantes au sein du forum technocritique « Nos Futurs ». Le progrès technique est une idéologie qui nous envoie dans le mur.
2018. Plongée dans le milieu collapso (Anna, Keller, Mignerot, Servigne, etc). Les menaces d’effondrements sont sérieuses.
2019. Étonnante conférence « Comment favoriser des comportements plus respectueux de l’environnement ». La psychologie sociale et la communication aiguisent ma curiosité.
2020. Intégration à l’équipe modo d’un groupe collapso pour favoriser les rencontres des membres. Je multi-fresque : Biodiversité, Climat, Economie circulaire, Low-techs, Nouveaux Récits, Numérique, 2 tonnes, etc.
2021. Débranchement de mon frigo et engagement auprès de l’association futurs proches pour stimuler la création de futurs inspirants grâce à l’écriture.
2022. Bifurcation professionnelle (toujours en cours). Auto-formation sur les sujets marketing et communication dans une perspective décroissante.
2023. Formation à l’animation de la fresque des frontières planétaires.
2024. Co-création de Détox ton site, mini-formation pour apprendre aux écolos à créer un site minimaliste et accessible aux personnes en situation de handicap.
Rudy Rigollet
Viking explorateur des mondes alternatifs
Sa bio
Maxime Giordano
Fédérateur et Co-fondateur du FIFES
Sa bio
Natif du département des Alpes-Maritimes, mes ancêtres viennent de Bretagne et du Piémont Italien. Élevé dans une famille d’hôteliers, j’ai grandi à Cannes, capitale mondiale du Cinéma et de la société du spectacle. Après un bac Scientifique et une licence d’Histoire-Géographie à l’Université de Nice, je pars en solitaire pour 19 mois de voyage à vélo à travers le Monde (Europe du Nord, Scandinavie, Russie- Mongolie, Australie, Amérique du Sud) où me rejoindront au gré des chemins, famille et amis.
De retour d’expédition, je retourne à l’Université de Nice pour effectuer un M1 en Information et Communication ou je rencontre mon épouse et compagne de vie Sundari. Un Master Spécialisé en Management Stratégique du Développement Durable à Skema commencera ma formation sur les thématiques du changement et de la transition. Après m’être frotté à l’univers des grandes entreprises à Paris (Club Med, pôle DD) et ayant compris que le changement n’avait que peu de chance de naître au sein de ces grands groupes, nous décidons de repartir en voyage sur les chemins du Monde. Nous commençons par un voyage en vélo et la création d’un Food Truck crêperie en Nouvelle-Zélande, puis à Tahiti, Moorea et au Mexique toujours en 2 roues chargées. Un passage en Amérique centrale et 11 mois de vie dans le département de Cusco au Pérou que nous explorons des plus hauts sommets andins jusqu’à la selva Amazonienne. Une descente de l’Amazone en bateau jusqu’en Colombie en passant par Iquitos puis nous restons 3 mois à travailler dans les cultures du chanvre en Californie. La dernière partie de notre voyage de 3 ans en couple nous amène en Asie du Sud-est (Thaïlande, Laos, Cambodge) à l’exploration des sites d’escalade dans ces contrées puis plusieurs mois en Inde du Sud entre Auroville et un voyage à moto au Tamil Nadu et Kerala. Retour en Europe par la Grèce et ayant la bougeotte nous repartons marcher le GR 5 depuis notre vallée de la Vésubie jusqu’au Mont Blanc.
Un retour de grand voyage qui nous met dans l’action à échelle locale en commençant notre projet de création d’un lieu autonome sur notre terrain situé sur la commune de Roquebillière en vallée de la Vésubie ( auto-construction, aménagement agricole et sylvicole, autonomie en eau et électricité, accueil de sessions de woofing) Le retour de voyage nous amène aussi notre premier cadeau de la vie, notre premier fils Edan suivi de son frère Millian qui nous enchantent et nous font repartir chaque hiver ( avant Covid…) pendant 1 à 2 mois sur les routes du globe et de ses merveilles ( Chili, Thaïlande, Egypte, Hawaï et Californie). Parallèlement à cette quête de liberté et d’autonomie, les expériences acquises au cours des voyages m’ont fait me rendre à l’évidence que je ne pourrais plus jamais être salarié classique. Je crée avec un ami d’enfance une société de gestion d’appartements pour les congrès et les vacanciers en centre-ville de Cannes, venant renforcer le groupe de l’hôtel familial. Six années d’activités et la crise du Covid arrivant, les envies de se diversifier et œuvrer pour le changement et le renouveau à échelle plus importante que notre cercle familial nous mène vers LUMIA pour participer à cette école de demain qui nous correspond et peut nous permettre de développer des projets qui ont du sens.
Nous vivons à Vallauris, la cité des potiers du Sud-est de la France et bercés par le bleu azur de la méditerranée et les restanques d’oranges douces et amères je suis prêt à fédérer l’ensemble des acteurs de notre département au sein de ces bio régions et faire que l’archipel du vivant vibre et résonne comme une évidence au sein de chaque maralpin, qui come nous le revendiquons sont « des montagnards qui ont les yeux tournés vers la mer ».
Sundari Giordano
Formatrice, illustratrice et co-fondatrice du FIFES
Sa bio
Karin Degunst
Prêtresse veau doux sans abattoir
Sa bio
Ma plus grande victoire serait de pouvoir un jour saisir sans frémir une belle et grosse araignée.
Ma plus grande défaite serait de ne jamais y arriver.
Sinon, quand je ne suis pas entrain de marcher dans la forêt, j’écris des livres sur des sujets aussi divers que la PMA, l’enseignement, la chasteté des prêtres catholiques, le concile de Constantinople et les faux-cils de Kim Kardashian.
Mon petit dernier vient de sortir : « La mue », où je tisse des liens entre le « mauvais » sort que nos sociétés modernes ont fait à la mort, la spiritualité et au Vivant.
Et quand je veux être dans le rang, j’anime des ateliers de sensibilisation à la transition écologique pour les scolaires.
Carole Degouy
Artiste alchimiste du végétal
Sa bio
Isabelle N
Fée du Vivant
et Sorcière des éléments
Sa bio
Grâce aux bains d’enfance dans les eaux ardéchoises et dans l’océan breton, grâce au rire de ma mère, aux sifflements de mon père, à l’amour de mes 3 frères et de notre petite chienne Comète, grâce aux lointains voyages et aux beautés rencontrées en chemin, j’ai gouté le nectar de la vie sur terre, je connais le paradis, j’en redemande sans fin.
C’est le rythme puissant des tambours des Garifunas du Honduras et le mouvement des vagues qui m’ont menée au corps dansant.
Ce sont les voyages lointains et les chants tribaux en cercle qui m’ont plongée dans l’ivresse d’être humaine…
Je sens dans tout mon corps que le cercle est bien plus grand que je ne pourrais l’imaginer. Il s’élargit à l’infini, il ne fait qu’un avec la terre, avec tout l’univers… Dans le cercle, chacun, quelle que soit son espèce d’appartenance, qu’il soit dans le manifesté ou dans l’invisible, est l’égal de tous, unique en son genre, vibrant et lumineux. Tous les êtres font la ronde depuis la nuit des temps.
Comment prendre soin de la beauté du monde ? Comment retrouver la mémoire de notre interconnexion ? Comment parler de l’urgence d’aimer la terre comme nous exhortent à le faire les peuples autochtones des 4 coins de la planète depuis des siècles ?
Consciente à l’extrême de la souffrance innommable des animaux esclaves de notre système et leur génocide qui n’en finit pas de se perpétrer dans l’indifférence quasi générale de l’humanité, j’ai rejoint One Voice puis la REV en espérant pouvoir apporter mon aide par des plaidoyers de rue et des clips poétiques. J’ai choisi de mettre l’art et la poésie au service de la cause animale et planétaire qui est aussi la cause humaine. J’espère pouvoir contribuer à ma façon à faire entendre la voix de ceux qui ne peuvent pas se défendre du fait même de leur totale innocence…
La poésie est une de mes alliées sublimes. Elle a pour moi des pouvoirs magiques. Elle est amorale, hors de la dualité, Elle permet d’abolir le sentiment illusoire de séparation. Elle œuvre hors du temps, elle dialogue avec l’âme, la mienne, la tienne, avec l’esprit des éléments, avec les arbres, avec tous les êtres de ce monde et des mondes invisibles…Elle cherche à viser le coeur. C’est ma cible.
En 2019, inspiré par la salamandre j’ai crée le mouvement Ondes de rêve pour rassembler une tribu abusant du chant pour célébrer la terre et tous les êtres vivants. Cela n’a pas encore fait écho parmi l’espèce humaine mais je sais que je ne suis pas seule, mes centaines de milliards d’amours, les bébés humains, les animaux, les arbres, les fleurs…les éléments sont là toujours avec moi.
Je ne peux décrire l’émotion qui est la mienne à l’idée de rejoindre L‘Archipel du Vivant. Mon rêve de trouver une famille humaine d’âme semble enfin se réaliser.
J’ai commencé mon parcours par des études en ethnologie à l’université Paris X, jalonné de voyages longue durée en Amérique centrale, au Mexique, en Inde… et je me suis formée à différentes pratiques artistiques et initiatiques.
Après un premier livre Frisson Animal dédié à la terre, deux autres tomes (Feu / air et eau) sont en cours d’écriture, ainsi que d’autres albums inspirés des spectacles et des textes que j’ai écrits.
J’utilise d’autres modes de sensibilisation : Exposition de portraits d’animaux au pastel en grand format et par des lectures poétiques.
Je suis plante sauvage, amoureuse de la terre
Rien ne peut me déraciner, même pas le vent
Je me fais souple quand il vient et avec lui je danse…
1011
Artiste contemporaine
.
Sa bio
Ses dessins, installations ou photographies brodées, sont ainsi le plus souvent des représentations physiques de la question à laquelle la technique moderne soumet les hommes des vingtième et vingt-et-unième siècles.
La place de l’engagement politique dans son œuvre ne se dément donc jamais, convaincue par Einstein que : « Le monde ne périra jamais par ceux qui font le mal, mais par ceux qui les regardent sans rien faire ». Au risque permanent de choquer au pire et d’éveiller les consciences au mieux ! En somme, l’œuvre de 1011 ne cherche pas tant à produire des réponses qu’à faire « vivre les questions« * de notre « humaine, trop humaine condition« **.
* Rilke
** Nietzsche
Jean Rigolejaune
Artiste plasticien de l’Anthropocène
Sa bio
Jean Rigolejaune, né le 31 avril 1748 selon la police, 2094 selon les syndicats, à Contrecourant, est un artiviste plasticien français comptant pour rien.
Son père était parent. Sa mère n’était pas marrante.
Dès l’âge de trois ans, il essaie de se conformer à la société gâtée dans laquelle il est plongé. Très vite, il accumule les récompenses : Oscar du meilleur scénario vide, César du meilleur désespoir masculin, Molière de l’employabilité, Légion d’honneur pour collaboration docile et insouciante à une société délétère.
Échauffé par toutes ces réussites, son cortex finit par s’embraser. Il s’éloigne alors de sa vie superbement superficielle, fabuleusement fatigante, et confortablement conforme, et s’extraie de son métier d’ingénieur ingénu.
Il s’accroche désormais aux branches de la création artistique, de l’admiration littéraire, de l’humour jaune/noir, de l’éducation de ses enfants, de l’amour et du respect du Vivant (occupations, reconnaissons le, bien plus grotesques et futiles que la bonne grosse soif inextinguible de pouvoir, d’argent et d’achats compulsifs), pour s’éviter l’abîme d’un pessimisme vertigineux et tétanisant.
Son site web : https://www.jeanrigolejaune.com
Jean-Baptiste Grangier
Artiste terrien
.
Sa bio
Pourquoi sommes-nous ici, maintenant et où pourrions-nous être ailleurs et demain ? Telle est la question qui sous-tend mon travail. Ma pratique mélange références historiques, scientifiques et fictionnelles en partant d’images que je crée ou choisis pour leur potentiel narratif et/ou symbolique. Elles ressurgissent ensuite sous de multiples formes plastiques – dans le temps – devenant ainsi autant de traces et de témoignages d’un rapport paradoxal au monde, allant d’une réflexion sur nos croyances utopiques aux discours écologique.
Le site de l’artiste : https://jeanbaptistegrangier.earth/
Crédit Photo : Rémi Chautant
Yann Urbon
L’éco-écho lié
.
Sa bio
Depuis le début, mes yeux regardent le monde évoluer, j’entends les échos des bruits de notre civilisation et j’en ressens les mouvements.
Animé par un idéal qui se déssine de jour en jour, je cherche à faire de mieux en mieux.
Je navigue dans le Réel et l’ Imaginaire pour remplir mon carnet de bord des plus belles expériences, les plus sages, en quête de sens. Comme un grand jeu dont le but est de continuer à jouer, je définis librement mes conditions de victoire et mes règles, pour qu’ensemble les joueurs puissent s’offrir les meilleures parties.
Jusqu’à présent, mes aventures dans le penser et l’agir m’ont embarqué jusqu’à l’Assemblée Nationale et au Parlement Européen avec le collectif Génération d’Avenir pour faire entendre le message de la jeunesse. Sans y voir de réels impact, j’ai ressenti le pouvoir du verrouillage politique.
Sans baisser les bras, je me suis engagé dans des collectifs comme Youth for Climate et Extinction Rebellion, en portant mes idéaux.
Parce que mon histoire manquait de changements palpables, j’ai changé d’échelle pour me concentrer sur mon environnement perceptible. C’est en voulant transformer le modèle lycéen de l’intérieur que j’ai crée Idealy.C. Mon premier projet associatif était né pour induire le déclic et accompagner la transition par l’action.
Cette question de transformation plus ou moins globale et radicale m’a poussé sur la route de l’hypnose. On ne manque jamais trop d’interrogations, donc l’adaptation et la résilience ont intégré mon cheminement de pensées.
En trouvant des sources de réponses comme L’Archipel du Vivant et en les investissant dans mes projets symbiotiques, j’en suis aujourd’hui arrivé à rédiger ces lignes, qui seront bientôt visibles dans les branches de mon arbre. TRIPS is coming, bon voyage !
Véronique Helmlinger
Ouvreuse
des portes de l’espérance
Sa bio
je suis pour le soleil couchant en haut des collines désertes,
je suis pour les forêts profondes » `
Barbara
Dans la tresse de ma vie s’entrelacent le goût pour la beauté, l’amour de la poésie, la joie des surprises.
Ajoutons-y le plaisir de travailler les fils.
Fil de coton, de laine et de lin, fil du lien entre les êtres.
Et celui de cultiver un jardin et, avec autant de soin, les amitiés, précieuses, précieuses.
Car l’amour est un trésor déposé entre nos mains jointes, qu’il nous faut protéger, caresser, réinventer encore et encore.
Parmi ces amis, il en est un dont je ne connais pas l’âge, mais qui tient avec majesté sa chevelure d’argent dans le vent des soirs. Je le salue bien souvent au passage. C’est un saule.
Je navigue sur les chemins en longues randonnées et je navigue au fil de l’écriture qui raconte tout cela, en d’extraordinaires déclinaisons.
Et j’écoute les musiques de l’âme, celles des êtres que je reçois dans ma consultation de psychiatre, et dont je tente d’accompagner les métamorphoses.
Car comme l’amour, le soin est un trésor, si malmené ces temps derniers, sur lequel il nous faut veiller avec une délicatesse infinie.
Je réponds à William Sheller, qui « veut être un homme heureux », je veux être une femme vivante, aussi pleinement que possible .
C’est de cette étoffe-là que je me sens faite !
Pamela Adam
Sorcière de la beauté holistique
Sa bio
Je suis Pamela, Française d’origine Colombienne Libanaise, j’ai grandi en Afrique au Nigeria à Lagos. Ma passion pour les voyages culturels m’ouvre un chemin d’ouverture à l’autre de par les traditions ancestrales riches de sens.
Mon passé et mes expériences m’ont fait traverser différentes tranches de vie qui m’ont amenée aujourd’hui à comprendre plus en détails une part profonde de moi et de mon féminin sacré.
J’ai subi 5 opérations assez lourdes au niveau de la sphère gynécologique, ce qui m’a permise de comprendre un peu plus le féminin sacré. Mes expériences professionnelles en entreprise m’ont fait prendre également conscience d’une certaine injustice quant au fait que l’empathie et l’hypersensibilité n’étaient pas les meilleurs atouts pour tous. Or je suis convaincue à ce jour que l’avenir est dans la collaboration et l’entraide à échelle humaine et comme j’aime dire « le Partage ».
Ma vocation est de transmettre des clefs d’une meilleure connaissance de soi au travers de pratiques tel que le massage, la naturopathie, l’ayurveda et l’art thérapie, je souhaite amener les femmes et aux hommes à se connecter à leur sensibilité et à ressentir comment l’autoguérison peut être un outil puissant pour le corps et l’esprit.
Cette approche Holistique à pour nécessité de s’ancrer de manière rationnelle et ésotérique à la plus belle version de vous-même.
Un massage, un soin énergétique du visage, un soin énergétique LaHoChi, un Chi Nei Tsang, faites-vous du bien, votre corps et âme vous remercieront !!!
Bruno Chaplot
Papa des Collapsonautes
Sa bio
J’ai également suivi des formations professionnelles pour le web aux Gobelins à Paris.
Avec plus de 15 ans d’expérience, notamment en agences parisiennes, dans les secteurs du luxe et de la cosmétique, tous deux aux prétentions très élevées. Je me suis fait une solide expérience en matière d’exigence dans mon travail, de réactivité face aux clients, d’attention et de compréhension de la demande.
J’apporte depuis 3 ans tout ce que j’ai appris directement à mes clients ; des conseil, de la stratégie, mon écoute, mon savoir-faire…
Les Collapsonautes sur Facebook : https://www.facebook.com/collapsonautes?locale=fr_FR
François Hellot
Aventurier épicurien
en quête de sens
Sa bio
Je suis marin, skipper et moniteur de voile aux Antilles et comme Paul Watson de Seashepard « mon métier c’est de faire des vagues. »
Aventurier : car j’aime bouger, j’aime le voyage, j’aime rencontrer les gens et discuter, et c’est une prise de risque, à chaque fois, à laquelle j’aime me confronter.
J’aime les échanges d’idées, le débat, j’aime être perturbé dans mes perceptions du monde… cela permet de s’enrichir et de mieux le comprendre.
Je ne suis pas toujours dans le consensus et cela peut parfois déranger, gêner, choquer….. Je ne fais pas dans le politiquement correct. J’ai du mal avec l’hypocrisie et « Je préfère être detesté pour ce que je suis, plutôt qu’être aimé pour ce que je ne suis pas. » George Simenon.
Épicurien :
J’emprunterai ma devise à Spinoza et aux épicuriens, qui pourrait être d’ « user des choses et y prendre plaisir autant qu’il se peut, sans faire de tort à autrui » ou à soi-même rajouterai-je.
Aujourd’hui, face à ce qui nous attend, il peut sembler difficile de profiter, mais sans plaisir il est difficile de se mettre en action. Il suffit d’être raisonnable. La joie et le plaisir nous donne notre puissance d’agir. Je suis donc également à la recherche de ce moteur pour continuer à progresser contre le vent et la marée de la pensée unique.
En quête de sens :
Quel sens donner à sa vie ? Est ce que vivre se résume à s’enrichir pour jouir sans entraves, et à consommer dans une totale insouciance ?
Je pense que nous devons laisser une empreinte dans cette vie (sauf au niveau carbone 😉 ).
C’est pour cela qu’en août 2022 j’ai décidé de partir à l’aventure, sur un tour de France à pied et à vélo à la rencontre des gens et des alternatives au système capitaliste (un début de trace peut être…).
Je suis indigné et révolté de voir avec quelle insouciance, mépris, ou cupidité nos gouvernements agissent et créent de plus en plus d’inégalités sociales et de destruction environnementale.
Utopisteur
Explorateur d’un monde postcroissant & vivant
Stéphanie Eekhout
Art Herboriste, gardienne de la terre et guide qui éclaire
Sa bio
Frédéric Farre
When hope dies, action begins
Sa bio
« Commerçant » de formation (https://www.linkedin.com/pulse/ce-que-jaurais-bien-voulu-apprendre-de-mon-%C3%A9cole-mes-frederic/?trk=mp-author-card), j’ai fait 15 ans de bon et loyaux services à l’export avant de créer en 2004 ma boite de conseil qui a pu accompagner plus de 350 clients dans les domaines des cleantechs et greentechs principalement.
La perte assez brutale de proches et des problèmes de santé chroniques & récurrents dans nos familles nous ont amenés à se poser des questions sur notre part de responsabilité face à la maladie. …Nous sommes passés en quelque sorte du sens des affaires à la quête de sens ! Je me suis rendu compte que notre manière d’appréhender la maladie était biaisée par un certain nombre de fausses croyances…au centre desquelles il y a l’alimentation . La prise de conscience qui a suivi ces découvertes ont passablement changés notre « business as usual » et finalement bouleversés notre vie.
Michel Hutt
Romancier, obsédé textuel
et raconteur d’Huttopies
Sa bio
Citoyen engagé, il a également été élu local, correspondant de presse, gardien de refuge bénévole et a co-fondé le mouvement de Transition en Alsace. Bricoleur incurable, il aime fabriquer, réparer et transformer toutes sortes de choses. Il a construit en 2014/2015 une maison autonome en paille entourée d’un verger et d’un potager en permaculture, véritables réserves de biodiversité où n’entrent jamais ni machines ni produits chimiques. C’est là qu’il se ressource et mijote ses futurs récits.
Il n’y a jamais bien loin entre l’univers des romans de Michel Hutt et la réalité. S’il a les pieds sur terre, au sens propre comme au figuré, il aime imaginer une société plus heureuse et plus juste, en harmonie avec la Nature. Ses romans ne sont ni des dystopies ni des utopies : ce sont des Huttopies, tout simplement !
Christophe Moreau
Chercheur de mondes désirables.
Sa bio
Je suis enseignant et conscient depuis mes années d’études des dérives d’un système que je combats toujours comme militant syndical et élu du personnel.
J’étais sensible à l’écologie comme tout citoyen lambda, mais mon intérêt pour l’écologie est allé grandissant à mesure de l’intensification de manifestations climatiques extrêmes (tempêtes Lothar et Martin de 1998, canicule de 2003…). Je pensais qu’une prise de conscience émergeait peu à peu avec son lot de solutions adaptées, résumées dans les 17 objectifs du développement durable pour sauver le monde de l’ONU que je devais enseigner, et que le temps n’était pas compté.
Mais plusieurs événements vinrent saper ces certitudes.
Le premier coup fut politique, avec la démission du ministre de la Transition écologique et solidaire Nicolas Hulot le 28 août 2018 me révèle une toute autre réalité.
Le deuxième coup fut scientifique, avec la publication du communiqué de presse du GIEC sur le Rapport spécial du GIEC sur les conséquences d’un réchauffement planétaire de 1,5 °Cle 8 octobre 2018 et celui de l’IPBES sur Le dangereux déclin de la naturedu 6 mai 2019.
Le troisième coup fut événementiel, avec les canicules et les incendies sans précédents de 2019.
Ce n’est qu’alors que je pris conscience de la distance entre les discours, les programmes scolaires, les actions et la réalité. Je me tournai alors vers la collapsologie, terme sur lequel j’étais tombé par hasard quelques mois plus tôt sur une recherche Internet.
Le mur de mes certitudes s’écroula enfin avec Web Série Documentaire, Pablo Servigne reçu à Bercy et la démonstration de dynamique des systèmes complexes d’Arthur Keller. Mais un seul pan de ce mur fut néanmoins consolidé : le problème était bien systémique.
Depuis lors, j’enchaîne les lectures et vidéos de conférences (Jean-Marc Jancovici, Philippe Bihouix, Guillaume Pitron, Hervé Le Treut…) et suis régulièrement la parution des communiqués de presse et des résumés des rapports scientifiques rendant compte des dommages causés par ce système (GIEC IPBES, FAO, IEA IRP…) qui me conforment dans ma vision effondriste de l’avenir, surtout avec la parution de l’appel de 1 000 scientifiques dans Le Mondedu 20 février 2020 : « Face à la crise écologique, la rébellion est nécessaire ».
Mais la porte la plus facile à ouvrir pour sensibiliser les personnes aux risques systémiques restant le changement climatique, je suis devenu animateur de la Fresque du Climat et du jeu « Inventons Nos Vies Bas Carbone », au terme desquels certaines personnes prennent conscience que le problème est systémique et que cela relève d’une gageure de le résoudre.
Louis
Micro-explorateur
des mondes désirables
Sa bio
Je crois fortement aux changements par l’action collective et la diversité des expériences.
Alors, depuis juin 2020, je me balade en vélo à la rencontre des villes, des personnes, de nouveaux modes de vies… Je raconte ça dans mes carnets et quelques écrits.
Je me bouscule dans mon confort en habitant en collectif, en changeant mon alimentation, en pédalant à longueur à journée. Je tente des formations, des lieux, des métiers pour explorer le futur dès maintenant.
Et j’essaie de créer des espaces pour que chacun puisse proposer sa vision et le vivre dès maintenant.
Ça te dit ? Alors viens à Joigny, j’y ai lancé La Caserne Bascule et un Café Associatif !
Cédric Loy
Citoyen pour un monde respectueux du Vivant
Sa bio
Conscient des enjeux et de l’ampleur des défis, je consacre une partie de mon temps à apprendre toujours plus, pour notamment toujours plus sensibiliser autour de moi par le biais de différents outils et associations.
Parce que je pense que nous sommes capables de relever, collectivement et dans l’entraide, ce défi de taille et parce que le changement climatique et aussi et surtout un problème de justice sociale.
Nous avons tous un rôle à jouer, alors au boulot !
Et comme on dirait aux Antilles où j’ai vécu quelques années, Tchimbé Rèd, Pas Moli !
« Aucun de nous, en agissant seul, ne peut atteindre le succès », Nelson Mandela.
Virginie Humbrecht
Illustratrice engagée
.
Sa bio
Dessinatrice passionnée toute ma jeunesse, je reprends mes crayons et feutres en 2019 pour éveiller les consciences, sensibiliser et encourager une action citoyenne face à l’urgence climatique. D’abord publiés sur Instagram, mes dessins engagés quittent vite les réseaux pour faire l’objet de plusieurs expositions. Par conviction naturelle, je deviens une illustratrice engagée, incapable d’illustrer des projets avec lesquels je ne suis pas en phase. Ecologie, mais aussi inclusion, culture ou lutte contre les discriminations sont des thèmes qui me sont chers.
Victor Noël
Observateur passionné
du monde vivant
Sa bio
Face aux grandes crises qui se jouent, prendre en considération le Vivant au-delà d’une optique uniquement utilitariste est une nécessité.
J’ai écrit deux livres : « Je rêve d’un monde… Plaidoyer d’un adolescent pour la biodiversité » paru en 2020 et « Sur les chemins du vivant » paru en 2022 aux éditions Delachaux et Niestlé
Simon Duval
Poète sensoriel et artiste des flaveurs et du sens
Sa bio
Sandrine Taclet
Activiste visuelle
.
Sa bio
À présent je vadrouille, en camion aménagé. Changement de forme mais pas forcément de fond car je suis constamment entourée de nature ou que j’aille. Je cueille beaucoup pour me nourrir, je cultive une simplicité de vivre, j’ai davantage de temps pour gambader, faire du sport en plein air, lire, me former, créer autrement.
J’ai décidé de ne plus collaborer que pour des projets à plus value écolo/éthique et prends le temps en parallèle d’illustrer ce qui me touche, les visuels de @Visual4activism (insta) sont tournés principalement autour de la nature et des animaux.
Moko
Révolté épris de justice sociale et écologique
Sa bio
Guillaume Maussion
Poète de la Brass’Vie
Sa bio
Sébastien Vanzieleghem
Résistant engagé pour une culture de la permanence
Sa bio
Nicolas Verre
Transitioneur et imagineur de terr-eau fertile
Sa bio
Nicolas est très engagé dans le développement de liens respectueux entre les vivants humains ou non, à titre personnel ou via le monde associatif, aussi bien d’un point de sociétal (lutte contre l’exclusion, décrochage scolaire, AMAP…) qu’environnemental (designer permaculture et maraichage, nettoyage de marais, ornithologie…).
« Deviens ce que tu es et fais ce que toi seul peut faire… »
Tom Howells
Designer et Compositeur
Il a créé notre logo.
Sa bio
From an early age I have enjoyed sketching, creating and building things. I was born and raised in Hong Kong, little did I know then that my passion would come full circle. After studying industrial design in the UK and a stint in the aerospace industry, I returned to China to work in product development, collaborating closely with the emerging economic and manufacturing superpower on a whole range of products.
From electronic items for the likes of Philips, furniture with design legend Philippe Starck, to snowboarding and kiteboarding products for market leading brands, it’s been more than 10 years packed with adventures. Traveling to factories in remote parts of Asia, and developing some excellent products with very interesting characters, has been hugely rewarding – It’s these sort of adventures in design and production that make me tick!
The return to Europe, and the establishment of ‘Howells’ is the culmination of my years in the design industry. My experience coordinating design projects from beginning to end is like no other, and I believe this differentiates me from my counterparts. That’s why it’s important to me to remain very hands-on all along a project, from concept sketches into 3D with Solidworks, creating 3D prints and models for rapid prototyping, and liaising with manufacturing to get the product to market. Berlin is the perfect place to gain inspiration, and its youthful energy drives every day forward, even in the coldest part of winter!
Jak
Dessinateur, cartoonist
Il a dessiné les personnalités D2R.
Sa bio
Hugo Mairelle
Graphiste et Plasticien
Il a réalisé les cartes du Tarot D2R.
Sa bio
Vito
Dessinateur
Il a réalisé la fresque (Homepage).
Sa bio
Victor Locuratolo, alias Vito, est né à Lille en 1982. Diplômé en architecture et en urbanisme en 2006 (à l’ENSA de Grenoble), il travaille quelques années dans le domaine avant de se consacrer pleinement à la réalisation de livres illustrés humoristiques.
Ses thèmes de prédilection : la gentrification, l’étalement urbain, l’uniformisation culturelle, la nostalgie des sociétés traditionnelles, etc.
Vito s’inscrit dans la lignée des dessinateurs écologistes des années 70, pour qui le problème est avant tout une question d’échelle, et donc d’esthétique : C’est l’accélération des flux, l’individualisme forcené et la démesure matérielle qui nous privent de la beauté du monde.
Ses ouvrages ne se contentent cependant pas de dénoncer la folie consumériste contemporaine, ils proposent aussi – et avec beaucoup d’autodérision – un panel de pistes et de solutions collectives susceptibles de réinventer notre rapport à la ville et au territoire.
Désormais dessinateur régulier du journal de la Décroissance, Vito publie au printemps 2020 un quatrième livre illustré portant sur la révolution écologique, intitulé à juste titre Utopique !
Bibliographie :
Le Paris de Vito, 2015 (autoédition). Nominé au festival du carnet de Voyage de Clermont-Ferrand
Villes Nomades, 2016 (autoédition).
Palimpseste, un regard sur la France contemporaine, 2018 (éditions Nomades). Nominé au festival international de géographie.
Utopique ! , 2020 (autoédition).
Un immense merci à nos adhérent·e·s, les Insulaires !
Merci à Sandrine, Kathleen, Alexandre, Marc, Pierre, Maxime, Franck, Guylaine, Jean-Marie, Mathilde, Derek, Maxime, Odile, Bettina, Laurent, Isabelle, Bertrand, Anne-Sophie, Alain, Dorian, Christophe, Sonia, Agnès, Claire, Séverine, Alexandre, Albert, Derek, Mariam, Frédéric, Rachel, Floriane, Florian, Albert, Joséphine, Étienne, Sidney, Martine, Arthur, Magali, Simon, Claire, Paul, François, Dominique, Boris, Damien, Thomas, Sophie, Renaud, Cyril, Dominique, Joëlle, Yves, Marie, Anne, Simon, Joannes, Christophe, Nathalie, David, Lise, Sylvaine, Jean-Marie, Maëlys, Mathieu, Jérôme, Florent, Jean-Philippe, Caroline, Yannick, Hugues, Philippe, Patrick.
Un immense merci à
toutes les personnes qui nous soutiennent financièrement
(sur HelloAsso, Tipeee ou via des dons directs) !
Merci à Denys, Solange, Jean, Alain, Bertrand, Jérôme, Brigitte, Triet, Carole et Pierre, Franzysch, Rudy, Selim, Richard, Florence, Benoit, Max et Sundari, Thierry, Florian, Mathieu, Sandrine, Jeannine, William, Catherine, Titi Kho, Jonas, Philippe, Kevin, Hugues, Vincent, Franck, Moderate, Renaud, Marie, Mathieu, Priscille, Elisabeth, Jérôme, Tite, Martine, Mathieu, le Boycott Citoyen, Permacultopia, Gloppy, Alyona, Eloïse, Agnès, Frank, Permablo, Mélanie, Sarrah, Marion, Florence, Alberto, Ridva, Ktl, François, Jeannine ainsi que Bertrand, Cédric, Frédéric, Cathy et Pierre, Claire.
Grâce à eux, nous avons récolté plus de 11 000 euros depuis le 1er janvier 2022.
Elles et ils ont fait partie de l’aventure, merci ! 😉
François Perrin
Convivialiste post-croissant
Sa bio
Je suis ingénieur environnementaliste. Âgé de 37 ans, originaire d’Alsace, formé à la viticulture et à différents métiers, je suis couteau suisse des métiers de l’environnement. J’ai plusieurs années d’expérience à différents postes transversaux. Je suis aussi éco-conseiller et je recherche un poste en CDI dans mon secteur et mon domaine (revalorisation des déchets, économie verte, production alimentaire…). La lecture de D.Meadows (Limits to Growth) en 2007 m’a tourné très jeune vers la questions des limites (géologiques, climatiques, hydro…) et des effondrements écologiques (espèces). Je vis désormais entre ville et campagne où je progresse sur un jardin en perma et un projet de jardin-forêt.
On peut m’impliquer dans les projets associatifs et les éco-lieux comme photographe-animateur-rédacteur.
Je rencontre des personnes qui œuvrent dans les alternatives (podcast « vivants). J’anime les pages de L’Archipel du Vivant sur les réseaux sociaux. Je visite des lieux alternatifs ruraux pour y tisser des liens et enrichir notre réseau. Je suis bénévole sur des festivals, des chantiers participatifs et vit de façon semi-nomade.
Nadège P-Chinchin
Exploratrice en quête de lumières
Sa bio
Mariée et maman de deux enfants, je souhaite ne pas « laisser tomber » malgré une vision pragmatique de l’avenir qui se dessine pour le vivant.
Eloïse Le Roux
Harmonisatrice sociale et visuelle
Sa bio
Je suis une jeune Bretonne amoureuse de la nature et de la vie en elle-même. Passionnée d’architecture depuis toute petite, j’en ai fait mon métier. Végétarienne depuis des années, fervente partisane de la liberté, je suis profondément optimiste, réaliste et bienveillante.
Mon énergie, ma curiosité et mon cœur d’enfant m’ont appris à écouter, voir et comprendre le monde dans lequel nous sommes, pour mieux vivre en harmonie avec ce qui nous entoure : la faune, la flore, les éléments mais aussi nous-même.
Ma véritable force est ma pluridisciplinarité. En dehors du travail, que ce soit associatif, participatif ou personnel, j’aime faire de chaque moment libre un instant différent car de multiples centres d’intérêts m’animent et font de moi qui je suis : un jour historienne, un jour maraîchère, un jour animatrice, un autre jour couturière, un autre encore aventurière, ou encore artiste, boulangère, maquettiste, herboriste, bibliophile, crêpière, actrice, ludophile, bricoleuse, guerrière et j’en passe… bref je suis une bouineuse de compétition !
Nous sommes tous d’accord pour dire que le cerveau humain est complexe. Que chaque personne, depuis le plus jeune âge doit passer par des étapes importantes de la vie pour avancer. L’éveil est un terme important. La prise de conscience en est un autre. Comme beaucoup d’humains, j’ai compris que toute vie sur Terre est menacée. Aujourd’hui ce n’est plus une fiction mais une réalité visible à notre échelle et prouvée mainte fois par des astrophysiciens, scientifiques, physiciens, biologistes, ingénieurs, philosophes, anthropologues, chercheurs, etc…
J’ai donc choisi de mettre mon énergie et mes connaissances à contribution dès à présent afin que le terme « avoir un avenir » ne tombe pas en désuétude. Avec des proches, nous avons commencé par planter une forêt de chêne. S’en suis actuellement une forêt comestible de 5000 m² dans le plus grand respect d’une niche écologique présente et très variée. L’objectif est simple, il faut que ce schéma naturel et verdoyant soit présent partout ! D’où mon envie de m’investir avec l’Archipel Du Vivant.
« Dans tous les êtres vivants, de tous âges, tous horizons, toutes formes et couleurs, toutes matières et types, il est inscrit une marque indélébile, brillante et immuable ; Le lien avec la nature mère fait partie de tout depuis la nuit des temps. C’est en respectant la nature que nous respectons notre nature »
Thierry Raffin
En quête de Reliance
à l’Anima Mundi
Sa bio
2006, l’année où ma représentation du monde a basculé. Je prends conscience de ce que nous appelons aujourd’hui l’urgence écologique.
Je suis né en 1973. Comme de nombreux français, j’ai des racines paysannes et j’ai grandi dans un lotissement, à mi-chemin entre la campagne et la ville. Curieux et ouvert d’esprit, j’ai souhaité partir à la découverte du monde et j’ai étudié puis travaillé dans différents pays. J’ai aujourd’hui un fils de 9 ans bilingue.
Que faire ? en 2006, ma vie était tournée vers l’interculturel, le commerce international et je comprenais alors la nécessité de relocaliser nos activités, se rapprocher de nos racines, simplifier nos modes de vie, apporter ma contribution.
2011 : pas si facile de trouver un métier à plus-value environnementale ! en attendant je commence à cultiver mon jardin, bio bien sûr !
2012 : je m’engage dans un mastère spécialisé d’éco-conseiller pour devenir acteur de la transition écologique.
2014 : je me lance en tant qu’entrepreneur, gérant et co-fondateur d’une filière solidaire de recyclage de déchets de bureau
2020 : en phase avec les ruptures actuelles, je suis désormais de nouveau à la croisée des chemins et continue de travailler sur ma cohérence personnelle, notamment en m’engageant dans l’Archipel du Vivant et après avoir suivi plusieurs formations, notamment en communication non violente. J’aspire à un monde plus en paix, plus harmonieux. Revenir à mes racines, me rapprocher de notre terre nourricière.
Pour moi, prendre conscience de l’urgence écologique, c’est concentrer tous ses efforts sur l’essentiel. Et petit à petit, laisser derrière soi le superflu.
« Soyons le changement que nous voulons voir dans le monde. » Gandhi
Mathilde Fiatte
Yogini
enragée & engagée
Sa bio
Cofondatrice du projet d’écohameau de l’Oasis des Âges, je suis convaincue que seules des transformations radicales de nos modes de vie et modèles pourront nous permettre de limiter les dégâts causés par les humain·es sur la Terre et le Vivant. Ce postulat peut sembler lourd, mais il a provoqué des changements dans ma vie qui me font me sentir aujourd’hui plus alignée et vibrante que jamais !
Mes années parisiennes dans l’événementiel sportif en parallèle de nombreuses prises de conscience écologiques et féministes ont progressivement nourri une dissonance cognitive qui m’a motivée à quitter définitivement la ville, à m’informer, me former, m’engager et militer, à rencontrer des personnes inspirantes, à ressentir la force de la coopération et du collectif, à me sentir appartenir et contribuer au quotidien.
Je me sens vivante lorsque je mets mon énergie au service de la beauté de ce monde et des animaux non humain·es qui m’entourent, et cette joie n’a d’égale que ma colère envers le système néolibéral, capitaliste, patriarcal, oppressif et spéciste dans lequel nous nous enlisons.
Fascinée par le mouvement, je suis également professeure de yoga fonctionnel : loin des injonctions esthétiques ou de performance, je souhaite ouvrir mes cours à toustes dans un cadre sécurisant, inclusif et joyeux !
Ivan Guyot
En transition vers un monde décroissant !
Sa bio
Un jour, forcément, je me suis dit : fuck. Il faut tout reprendre à zéro.
A part ça, divorcé, 3 formidables garçons de 23 à 30 ans qui vivent à Ottawa, Lyon et Strasbourg, et qui suivent avec curiosité et intérêt l’évolution de leur Papa.
Bettina Geoffroy
Aventurière optimiste
Sa bio
Ma vie professionnelle a débuté dans un univers plutôt conventionnel (média, agence de communication, institution). Au fil du temps, des questions n’ont cessées de m’envahir : quel est le sens de mon métier de communicante, quel est mon rôle dans la société, pourquoi je n’arrive pas à me conformer à ce système métro-boulot-dodo, pourquoi continuons-nous tous à vivre en ignorant totalement les défis écologiques et sociaux qui sont face à nous ? J’étais en cruel manque de sens et d’engagement, révoltée contre l’inaction générale.
J’ai commencé à agir en mettant mes compétences et une partie de mon temps au service d’associations sociales en France et à l’étranger. Puis c’est un besoin de changement de vie qui s’est imposé à moi, une vie qui concilie mes valeurs, mon envie de changer les choses, ma vie personnelle et ma vie professionnelle.
En rejoignant l’Archipel, je deviens communicante au service du Vivant et je me sens, enfin, alignée ! J’ai la chance immense de vivre à mon rythme : une vie engagée, libre, tournée vers les autres et la nature.
Aventurière optimiste, je ne suis jamais aussi heureuse qu’au bord d’un lac au milieu de la forêt, après une journée de randonnée. J’adore vivre de longues aventures déconnectées à pied, en bus ou à vélo. Prendre mon temps pour explorer le monde, admirer ses singularités et rencontrer ses habitants ont été le terreau de ma détermination à protéger notre planète et le Vivant !
Soufiane Kharroubi
Développeur web engagé
Sa bio
Je suis passionné de physique, gymnastique et randonnée. Après une découverte progressive mais néanmoins violente de l’effondrement en cours, j’ai décidé d’utiliser mes compétences à la diffusion de contenu sur l’écologie et l’effondrement en Pologne
Jérôme Fonteneau
Coach en transformation
Sa bio
Psycho-sociologue des organisations et du travail, mon chemin a très tôt rencontré les perspectives de « l’anthropologie de la nature » de Philippe Descola à travers Les lances du crépuscule. Je racontais alors à mes filles toutes jeunes que des Indiens Achuar parlaient véritablement aux pécaris et aux toucans, que la « nature » pouvait être pensée autrement. Elles m’en parlent encore… Cela s’accordait aussi avec ma passion pour la philosophie stoïcienne et l’Âme du Monde mise à son soubassement.
Dune a aussi marqué mon « imaginaire » , après Fondation d’Asimov et Le monde du non-A de AE. Van Vogt, mais aussi Le cycle d’Ender de Orson Scott Card durant mon adolescence. Durant mes années lycée, j’ai lu aussi pratiquement à sa sortie Les limites à la croissance de Dennis Meadows en l’empruntant à la bibliothèque. Je crois que je l’ai lu comme un livre de science-fiction… pour m’apercevoir bien plus tard que l’anticipation était réelle …
Mon itinéraire intellectuel m’a fait passer aussi par les chemins du constructivisme avec Les mots et des choses de Foucault, Les économies de la grandeur de Luc Boltanski et plus tard l’Enquête sur les modes d’existence de Bruno Latour.
Très tôt je me suis engagé dans l’action pour l’information citoyenne, en co-fondant l’association Inf’OGM – avec Greenpeace, la Confédération Paysanne, à l’époque de José Bové et des faucheurs d’OGM – appuyée par la fondation Charles Léopold Mayer. Je me suis ancré aussi sur mon territoire communautaire en Bretagne à travers la structuration du Forum Citoyen pour le développement de la démocratie participative au niveau local… chemin qui reste laborieux !
Aujourd’hui à la retraite, grand-père de 4 petits-enfants, « Sur-Vivant » , je m’occupe … :
- de mon potager en permaculture hérité de ma fille Marine qui s’y est formée et aujourd’hui est experte sur les questions de l’eau et vit en yourte avec son compagnon et Isaïah mon petit-fils sur les bords de la Rance,
- de philosophie avec les enfants dans le cadre de l’Association Mycélium que j’ai co-fondée avec l’équipe cœur en Bretagne de SEVE (Savoir Etre et Vivre Ensemble – association fondée par Frédéric Lenoir et Martine Adam-Roussel),
- d’un projet de kit pédagogique de fiches philo avec les enfants sur la question de « Changer le monde est-ce possible ? »,
- de contribuer à la structuration du mouvement francophone de l’Adaptation Radicale où je participe au cercle des Tisserand.e.s qui m’a permis de rencontrer Jean-Christophe.
Sur un autre volet, je suis Instructeur de méditation de pleine présence et j’ai fondé l’association En-Vie de Bien Être pour enseigner cette pratique :
- je tiens un blog sur ces questions : https://enviedebienetre.wixsite.com/enviedebienetre/blog
- je participe au groupe des Reliances sophrologiques de Gilles Pentecôte et à la structuration d’un groupe de professionnels de l’accompagnement des personnes atteintes par l’éco-anxiété.
- je co-anime le café solaslagie de Guingamp Climat et le Web-Papotage de l’Adaptation Radicale
Ce chemin me conduit « naturellement » à rejoindre L’Archipel du Vivant, avec cet objectif de co-dessiner les nouvelles cartes du monde, « de retisser ensemble la trame du tissu déchiré du monde » pour reprendre la belle expression du philosophe Abdennour Bidar.
« En te levant le matin, rappelle-toi combien précieux est le privilège de vivre, de respirer, d’être heureux. » Marc Aurèle – Pensées pour moi-même
Naomi Simeon
Féministe actrice du changement
Sa bio
J’ai toujours été sensible à notre rapport au vivant. J’ai toujours ressenti que nous vivions dans un monde étrange, inadapté, déshumanisé. Après avoir passé un an en classe préparatoire Bcpst, j’ai voulu agir plus concrètement dans ce monde, trouver ma place. Je suis donc partie en Roumanie pour un service civique. J’ai pu me rendre compte de l’injustice sociale, des inégalités existantes, du dysfonctionnement d’un système. J’ai continué ma voie dans la biologie pour terminer mes études avec un master pluridisciplinaire en environnement : Giebiote. J’ai compris que beaucoup de choses « essentielles » n’étaient pas clairement évoquées ou explicitées. J’ai reçu comme cadeau le livre de Pablo Servigne Comment tout peut s’effondrer, je l’ai lu difficilement, comprenant que tout était lié, que nous avions abusé de ce mode de vie. Aujourd’hui je me considère comme une féministe actrice du changement et une amoureuse du vivant. J’apporte ma contribution, je suis végétarienne, j’aspire à vivre simplement, même si mon choix de vie n’aura peut être pas d’impact. J’ai été membre d’Alsace Nature (France Nature Environnement).
J’aime méditer, dessiner, l’art est selon moi une porte de sortie de ce monde de fous. J’agis maintenant notamment dans ce beau projet de l’Archipel du Vivant une utopie concrète, un rêve éveillé mais lucide.
Nos Actions
Nos productions, nos réalisations et nos collaborations…
Vous saurez tout.
Nos Ami·e·s
Ces organisations nous inspirent. Nous œuvrons ensemble pour…
un monde meilleur.
On parle de nous
Sismique, Mr Mondialisation, 90°, La Relève et La Peste, Plan(s) B, Back To Earth…
Nous soutenir !
Votre aide est aussi
précieuse que vitale.
Nous avons besoin de vous.
Mathieu Kuntz
Jeune habitant de la Terre, je débarque dans un monde que je découvre depuis plusieurs années, aller bien mal, et je m’emploie depuis à agir, de tout mon être et de diverses manières, pour le rendre réellement juste, soutenable et enviable.
Après plusieurs prises de consciences de différents enjeux écologiques, sociaux et sociétaux, et d’effondrement, je continue de m’informer, d’en apprendre et comprendre plus chaque jour.
Parmi les premiers membres de Youth For Climate France, je me suis beaucoup engagé avec divers mouvements associatifs et militants (YFC, Extinction Rebellion, Gilets Jaunes, La Bascule, Alternatiba, Low Tech Lab…). J’ai co-organisé les assises nationales de Youth For Climate à Grenoble (octobre 2019), et j’ai participé à de nombreux évènements et rencontres, avec des acteurs de milieux très différents.
Candidat tête de liste d’une liste citoyenne que j’ai montée pour les élections municipales 2020, je suis aujourd’hui conseiller municipal à Saint-Martin-d’Uriage (Sans étiquette).
J’aménage actuellement mes études pour continuer de me former dans plusieurs domaines essentiels à mes yeux pour le monde que je souhaite construire (permaculture, intelligence collective, facilitation, économie, sciences, prospective, hypnose etc.), et pour m’investir dans différents projets, notamment l’Archipel du Vivant.
Je parcours la France pour partager, rencontrer, faciliter et transmettre.
Ma mission principale ? Sensibiliser et former les jeunes (de 10 à 25 ans) aux grands défis de notre époque afin de les transformer et d’en faire des militant·e·s engagé·e·s au service du Vivant et d’un monde nouveau.
Claire Largier
Le fil rouge de mon parcours ? Un certain balancement entre deux forces opposées : la bonne élève, qui se conforme sans broncher à ce qu’on attend d’elle, et l’imprévisible, qui va toujours là où on ne l’attend pas. Et l’éternelle recherche de ma juste place dans ce monde.
Au lycée, fascinée par la compréhension des mécanismes qui sous-tendent la vie mais aussi soucieuse de me conformer aux attentes, j’ai choisi la voie menant au diplôme d’ingénieur du vivant (titre dans lequel je ne me suis jamais reconnue et qui me semble d’ailleurs grotesque, comme si on pouvait ingénierer la vie!). S’en sont suivis plusieurs séjours à l’étranger et des expériences professionnelles diverses et variées mais jamais vraiment concluantes.
La spiritualité a toujours fait partie de ma vie, sous différentes formes : d’abord la religion catholique, dans laquelle j’ai baigné et où je percevais déjà une vérité profonde au-delà du dogme (que j’ai assez vite rejeté), puis les expériences psychédéliques (qui ont joué un rôle déterminant dans ma perception de la réalité) et enfin, plus récemment, la présence à soi par certaines pratiques comme la méditation et une ouverture progressive de ma conscience du monde.
En janvier 2022, je cochais toutes les cases du bonheur tel qu’on nous le vend : un conjoint, deux enfants, une belle maison, un CDI dans un grand groupe. Et pourtant, un sentiment de malaise grandissant. Un éclair de sagesse m’a permis de réaliser que le problème venait de moi et de ma propre tyrannie intérieure. J’ai alors entamé un profond travail d’acceptation de moi-même, qui m’a amenée, une fois mes propres souffrances individuelles dépassées, à une prise de conscience, finalement assez récente (été 2023), que je n’allais plus pouvoir me projeter dans le récit dominant actuel, dont je percevais déjà les failles sans l’avoir totalement remis en question. J’en suis finalement ressortie confortée dans mon désir de vivre une vie pleinement consciente et alignée sur mes aspirations profondes.
Aujourd’hui, je me défais lentement mais sûrement de tout ce qui m’entrave et m’empêche de suivre mes élans de vie, tout en accompagnant et inspirant les autres, en particulier les femmes, sur ce chemin d’émancipation personnelle que j’ai moi-même entamé.
Avec L’Archipel du Vivant, j’ai trouvé la communauté de rêveurs lucides aussi barrés que moi que je cherchais, et un terrain de jeu idéal pour mettre à profit mes compétences et ma créativité au service de la seule cause qui en vaut désormais la peine : celle de la préservation de la vie sur Terre. Elle est si belle, ce serait dommage que ça s’arrête par notre faute !
Isabelle Clep-Guetny
Issue des Beaux-Arts de Nantes (dessin d’architecture et archéologie), j’ai d’abord cherché comment concilier mon amour de lieux anciens ressourçants, mon besoin de liens profonds et bienveillants avec les autres y compris les non-humains, et la course folle que notre monde néo-libéral, productiviste et urbain nous impose.
Et je me suis enfuie…
Alors depuis 40 ans, je partage ma vie avec un homme-jardin amoureux des oiseaux, au coeur d’un vieux village où nous entre-croisons un jardin-forêt et notre atelier inspiré de nos passions partagées (éco-paysage régénératif, peintures médiévales a fresco, créations contemporaines et végétales).
La vie nous a gratifié de 5 enfants en noir et blanc qui nous ont appris à grandir, à dépasser les différences, à accepter les douleurs psychiques.
J’ai parfois cru qu’être non-adapté·e au monde actuel était une difficulté ou une erreur, je perçois maintenant que nous sommes de plus en plus nombreux·ses à faire ce choix conscient. À L’Archipel du Vivant, j’ai rencontré une communauté bienveillante qui apprend en marchant comment réhabiter la Terre avec entraide et justice sociale, afin de retrouver une place sobre, respectueuse des autres que humains.
Pour moi, c’est un chemin qui se pratique avec lenteur. Actuellement, je dénumérise ma vie au son d’un tambour et je me guéris des idées noires de la collapsologie, leur préférant la philosophie de la métamorphose chère à Patrick Viveret.
Franck Bernard
Après des études en sociologie de l’action collective et du changement par l’éducation populaire, Franck entreprend un tour du monde en solo. À son retour à Montpellier, il consacre son énergie à militer du côté des propositions déjà existantes avec l’idée de les rendre accessibles au grand public. Il rédige alors un guide des alternatives pour Alternatiba et gère l’agenda alternatif Démosphère. Vient la découverte des mouvements sociaux avec Nuit Debout où il se découvre anarchiste et commence à animer les AG ainsi que des ateliers sur l’espace public. Il crée ensuite l’association Nouveau Monde, avec laquelle il relaie les événements alternatifs locaux, et anime surtout des espaces où l’on parle collapsologie, low tech, désobéissance civile, émotions, postures, utopies, actions locales, municipalisme, biais cognitifs, etc… Investi pleinement aux côtés des Gilets Jaunes, il défend la complémentarité des stratégies et fait le lien entre les jaunes, verts, rouges et même noirs. Il sera notamment facilitateur lors des « Assemblée des Assemblées Gilets Jaunes », la plus belle expérience démocratique et anarchiste de sa vie ! Très impacté par son intérêt pour la collapsologie, il défend une analyse systémique et se forge la conviction que face à la gravité des enjeux il est grand temps de radicaliser son approche, et de l’inscrire localement pour préparer la résilience des territoires sous toutes ses formes.
François Anastasio
« Le poète est un être qui a pour mission, non de faire un poème […] mais d’être et de nous faire être. » (Liliana URSU, poétesse roumaine)
Si le Système Terre a eu l’immense privilège de me voir arriver en son sein le fabuleux jour du 14 Janvier 1995, cela montre avant tout que je glisse doucement, très doucement, dans le club des trentenaires. Trente étés et trente hivers à partager l’air, la terre, l’eau et le feu du monde avec l’ensemble du vivant et non vivant. Je me souviens de ce soir très profond où je me suis longtemps posé la question : est ce que je vaux plus qu’un caillou ? ciblant très précisément un des cailloux qui trainait dans l’allée devant l’entrée de ma maison. Je n’ai pas la réponse à cette question, malgré le prompt renfort de trente années de pérégrination (je parle bien sûr du caillou car je suis dans le déni de l’âge).
Je suis diplômé d’un Master en Histoire Recherche, ce qui montre un passif où j’ai vécu une bien belle poignée de 5 années dans le cocon du monde universitaire, à l’extérieur des vicissitudes du monde commun. Mon après Master fut une riche redécouverte de ce qui fait le monde, le vivant, l’existant et le beau, mais je garde un pied assuré et à l’affût dans les sciences humaines et sociales, dans l’art de l’esprit critique et dans l’amour et l’appât de la connaissance.
Cela est par ailleurs un de mes défauts favoris : j’exerce le monde à travers mes connaissances théoriques, j’ai trop peu fait dans l’action, dans le concret, dans l’engagement vivace.
L’Archipel du Vivant m’a pris quand je pataugeais dans la fange du quotidien irresponsable et aveugle et me fait d’ores et déjà voguer sur la mer pétillante de l’existence en direction de l’horizon du futur.
Derek Salmon
Je suis designer et développeur web spécialisé en écoconception et accessibilité. J’ai cofondé un studio web nommé Pikselkraft qui a pour objectif de promouvoir un numérique convivial. Je milite contre le technocentrisme, les GAFAM et la surabondance d’écrans. Je propose aussi des ateliers et formations pour partager une autre vision du numérique et de la technique en général dans le but de reprendre le contrôle sur les machines 🤖
J’ai découvert les biorégions via le municipalisme libertaire en étant fasciné par le lien possible entre un lieu, la compréhension du vivant et la politique. Le MOOC de L’Archipel du Vivant m’a permis de bien appréhender l’enjeu de ce sujet. Un de mes projets sera de cartographier les acteurs engagés de ma (bio)région avec ses caractéristiques pour informer et développer une communauté biorégionale. Cette cartographie aura pour vocation de devenir un outil libre convivial qui pourra être réutilisé pour d’autres bioregions.
Dorian Cavé
J’ai grandi dans la splendide vallée de la Cèze, rivière chère à mon cœur. Mes études m’ont ensuite attiré dans des villes de plus en plus gigantesques, de Montpellier à Paris, jusqu’à Hong Kong et Pékin. Après une dizaine d’années à bourlinguer en Chine et au Japon, où j’ai donné libre cours à mes passions gastronomiques, culturelles et littéraires – notamment en tant que traducteur et cofondateur d’un espace artistique alternatif – j’ai décidé de venir me ré-enraciner dans le Béarn avec ma chère et tendre, hors du monde urbain, et pour œuvrer à des changements collectifs radicaux face à la catastrophe planétaire en cours.
Ces jours-ci, en tant qu’activiste-chercheur, je m’intéresse plus particulièrement à la sociologie de l’apprentissage social au sein de groupes militants, et à la facilitation de processus de gouvernance partagée et d’intelligence collective. Je suis aussi impliqué dans le réseau Deep Adaptation / Adaptation radicale, dans un projet de sécurité sociale de l’alimentation, et dans la mise en place d’un nouvel espace de vie collectif et d’éducation populaire à visée biorégionale… Et puis j’apprends à faire pousser des légumes, et à passer moins de temps sur mes écrans !
J’aime mettre en réseau les personnes et créer du lien pour favoriser les synergies positives.
Au départ kiné puis formatrice en permaculture, prof de Yoga, accompagnante en périnatalité … je jongle avec de multiples casquettes qui viennent nourrir mon imaginaire pour le mettre au service d’autres possibles. J’ai découvert L’Archipel du Vivant « par hasard » et à la fin du MOOC, il m’a semblé évident de participer à la diffusion de l’utopie biorégionale et rejoindre le collectif. « Encore un », dirait certaines mauvaises langues. Je ne fais que remonter vers la source, rechercher les racines pour participer à la résilience du Vivant en nous et autour de nous.
Christophe Garnier
Un peu ardéchois depuis ma première naissance, je suis né à nouveau il y’a douze ans, dans la région du cœur. C’était lorsque j’ai ouvert les yeux sur ma vie intérieure et me suis mis à écouter ce qui se dit en moi.
J’ai alors entendu de belles choses, et de moins belles. Ces dernières, je les ai soit écartées parce qu’obsolètes, soit apaisées parce qu’elles le méritaient.
Aujourd’hui, je suis toujours très attentif à ce qui se raconte en moi, mais surtout, je fais de la place à mes élans intérieurs.
Aujourd’hui je vis en Drôme, et ma retraite professionnelle m’invite à ne plus reléguer au second plan les sujets qui me brûlent.
Alors j’œuvre, souvent timidement, toujours avec sincérité, là ou ailleurs.
Je tente de mettre sur pied un écolieu, j’aide des êtres souffrants à supporter leur fin de vie, je soutiens des jeunes dans leur quête d’autonomie.
Enfin, j’habite L’Archipel du Vivant. D’abord parce que j’ai vu à quel point j’appartiens à ce Vivant et à quel point je dépends de lui. Puis parce que vit dans cet Archipel une famille dont j’ai envie qu’elle élargisse la mienne.
Les frères et sœurs de chemin sont si précieux…
C’est en 2017 que je commence mon changement radical de vie pour devenir en 2 ans à peine yogi et méditant, vegan et anti-spéciste, locavore et minimaliste, effondriste et biorégionaliste.
Enfin, je suis l’auteur des livres Le climat n’est pas le bon combat ! et Écrivons ensemble un nouveau récit pour sauver la vie !
Aujourd’hui, je partage mon temps entre la ville pour y voir mes enfants et la campagne pour découvrir des initiatives alternatives. Je participe à de nombreux événements engagés et partage ma vision dans le cadre de conférences « augmentées ». Le paradis ? Ma Tiny house !
« L’utopie n’est pas l’irréalisable, mais l’irréalisé. » Théodore Monod.