Notre Équipe

Si vous souhaitez rejoindre notre super équipe, écrivez-nous : contact@archipelduvivant.org

Notre équipe opérationnelle

Mathieu Kuntz
Sorcier des transformations souhaitables

Christophe Garnier
Fervant adepte de la croissance de la paix en moi

François Anastasio
Spirituel de l’Idéel, tissant vivant le monde

Photo Soufiane Kania-Kharroubi

Claire Largier
Inspiratrice d’émancipations
radicalement joyeuses

Franck Bernard
Vivaliste
et spectateur de l’absurde

Isabelle Clep-Guetny
Tisseuse de ruralités écoféministes

Derek Salmon
Luddiste convivial
et hackeur sobre

Jean-Christophe Anna
Rebelle amoureux du Vivant
et Utopiste biorégional

Sylvaine Anani
Tisserande
d’humanité

Dorian Cavé
Alchimiste de connexions utopiques

Nos enrichisseur·euse·s du site ressources

Nos rédactrices et rédacteurs de contenus enrichissent notre site Ressources.
Leur contribution à l’aventure de L’Archipel du Vivant est infiniment précieuse. Un immense merci à toutes et tous !

Photo Julien Leroux

Julien Leroux
Citoyen du monde aspirant à 1 soc. respect. du Vivant

Sa bio
Dans une démarche de sobriété heureuse je partage mon temps entre, la Bretagne où je développe avec mon frère un écolieux familial inspiré de la décroissance et de la permaculture, les voyages à la découverte des merveilles de notre monde et des collectifs et communautés rurales de France en recherche de partage et d’autonomie, et la ville où je reviens l’hiver pour travailler et participer à des projets associatifs.

Vanessa
Tisseuse de liens et Cata-lysatrice de changement

Sa bio
« Marche ta parole » est un adage amérindien qui me suit depuis presque 20 ans.
20 ans d’une vie où j’ai œuvré à incarner les valeurs et visions qui sont les miennes.
Forte d’une prise de conscience dès l’enfance et l’adolescence des enjeux sociétaux et écologiques j’ai passé des années à faire des recherches pour comprendre pourquoi le monde me semblait marcher sur la tête.
Après des études de mathématiques, physique et mécanique, d’une voie tracée pour moi, j’ai pris la décision de partir en sac à dos faire du woofing il y a plus de 15 ans. Durant cet été j’ai, entre autres, rencontré la yourte, découvert la permaculture et les constructions écologiques, ce qui m’a ouvert une nouvelle perspective de vie… Plutôt que lutter contre un système, il fallait que je construise ma vie à côté. J’ai donc arrêté mes études et suis allée faire du maraîchage pour commencer à m’autonomiser.
S’en est suivi plus de 4 ans de vie nomade en camion avant de devenir maman pour la première fois en 2013 et réitèrer en 2014.
Devenir maman m’a obligé à regarder quels enfants je voulais laisser à ce monde et comment faire pour qu’ils y vivent le mieux possible. J’ai donc décidé de pratiquer le maternage proximal, une éducation la plus bienveillante possible et l’instruction en famille en unschooling pure (apprentissages autonomes) tout cela en vivant en habitat léger dans la nature.
Expérience qui a duré jusqu’en septembre 2022 où mes enfants ont voulu tester la « vie normale » en allant à l’école et vivre en maison avec leur père.

Moi qui me consacrais pleinement à eux et qui avais disparu en tant que femme pour n’être que maman, me suis retrouvée avec du temps et un monde à explorer avec ma base de connaissances, compétences et savoir-faire.
Je suis donc repartie faire du woofing où lors de rencontres, notamment avec Jean-Christophe cofondateur de L’Archipel du Vivant, je me suis rendue compte que ma capacité à théoriser ainsi qu’à faire, était potentiellement une valeur ajoutée pour de nombreux projets.
J’ai donc lors de mon arrivée en appartement dans un quartier populaire créé mon entreprise Sunbioo (qui signifie symbiose, notion très importante pour moi).
Deux volets la compose :

  • Atalanta une entreprise où je mets mes acquis au service des particuliers, associations, institutions ou entreprises grâce à une vision systémique des enjeux. Comme en permaculture une approche globale plutôt que séparée, fragmentée ou compartimentée et donc non résiliente à plus ou moins long terme.
  • Kanuya, mon entreprise de création d’accessoires zéro déchet et en récup. Je propose aussi par ce biais des ateliers autour de cette thématique.

De plus, mon expérience dans le milieu alternatif a fait émerger l’association Tiss’Age Alter’Natif que nous sommes en train de mettre en place avec des amis. L’objectif principal de cette asso est de permettre un inventaire des initiatives alternatives à ce monde insensé afin de s’appuyer sur l’existant pour mener des projets ensemble qui permettront de rayonner au-delà d’un milieu spécifique. Comme je vous l’ai dit plus haut le phénomène symbiotique est important pour moi.

Le mouvement post urbain et le travail sur les bioregions m’intéressent énormément mais pour commencer, arrivant dans un quartier prioritaire et appliquant toujours les principes permaculturels, le travail de coordination va permettre de mettre en place des projets adaptés aux personnes précaires qui ne sont pas sensibilisés aux enjeux écologiques car submergées par les enjeux économiques.
Tout cela n’est qu’à son lancement mais l’émulation est là. L’envie et le plaisir de faire aussi.
Reste à savoir où tout cela va me mener…
Mais pour l’instant, je contribue à L’Archipel du Vivant en rédigeant du contenu pédagogique en plus de mes autres activités.

Rachel Gaultier
Furtive heureuse
et vivante curieuse

Sa bio

Je prends le temps vivre. J’ai conscience de ma chance et je veux en profiter pour participer au changement. J’aimerais rendre service au Vivant pour lui redonner en partie ce qu’il m’offre… Et mes missions au sein de l’Archipel du Vivant y contribuent.

Mon quotidien est fait d’expérimentations, de low-techs, de jeux, de lectures, de partages, de réflexions, de missions variées pour des associations locales, ou des organismes publics…

Parce que sobriété et légèreté vont de pair, je me laisse porter au fil des expériences. Si je dois faire des choix, j’espère les faire en conscience pour leur donner du sens.

En attendant ce jour où l’on pourra vivre ensemble, avec et pour les vivants, je continue à multiplier mes actions et je ne perds pas espoir !

Ivana Hruszowiec
Lutine révoltée et apprentie chercheuse déterminée

Sa bio
Bretonne chevronnée, j’ai trimballé mon drapeau breton de Montpellier à Paris en passant par l’Autriche.

Après un faux départ en classe préparatoire commerce, qui m’a ouvert les yeux sur ce système hors-sol qui entend organiser la vie humaine et sociale, mes différentes prises de conscience écologiques et humaines me mènent vers le militantisme écologiste et l’anthropologie. Je découvre avec le militantisme que l’écologie ne concerne pas que la nature ; que nous sommes des milliers à nous soucier des enjeux de justice climatique et sociale et de la disparition du Vivant ; qu’un autre monde émerge bel et bien un peu partout. J’apprends avec l’anthropologie à faire un pas de côté sur ce que je sais ou crois savoir, et j’apprends que toutes les représentations et valeurs qui construisent la vie sociale que nous connaissons peuvent être interrogées, déplacées, renouvelées.

Ces réalisations construisent peu à peu en moi la conviction qu’une alternative est non seulement possible mais aussi et surtout nécessaire. J’avance donc avec ce sentiment qui me porte et avec le besoin de faire partie de la construction de quelque chose d’autre.

Construisons d’autres manières d’interagir, de nous déplacer, de rêver, de raconter. Construisons des écoles sans murs, des relations aux étiquettes multiples, construisons un rapport à la nature qui nous régénère nous autant qu’elle.

Mes missions au sein de L’Archipel du Vivant entrent en résonance avec l’importance que j’accorde à la transmission et l’éducation : j’écris des contenus pédagogiques ressources, je m’occupe de l’enrichissement global du site internet, et je participe aussi à la réalisation du Jeu grandeur nature D2R – Dealeuses et Dealeurs de Résilience.

Jeanne Sorin
Amoureuse
et Âme curieuse de la Vie

Sa bio
En quête de sens et de cohérence, j’essaye chaque jour de me connecter à mes diverses
intelligences (cœur, corps, mental, esprit) pour construire le monde que je souhaite voir
demain : un monde plus juste et respectueux du vivant, qui intègre une vision holistique.
En parallèle et à la suite de mes études en information-communication et en FLE, j’ai voyagé
à l’étranger et en France, notamment dans des communautés alternatives. Ces expériences
m’ont permis de découvrir différentes manières de vivre, de faire d’incroyables rencontres,
de me connaitre davantage et de connecter avec mes aspirations profondes. À côté de ça, j’ai
toujours été membre d’associations pour des causes qui me tiennent à cœur : bénévolat à
l’AFEV, à l’école d’écologie intégrative et en tant que professeure de français pour des
personnes réfugiées. Aujourd’hui je rédige des contenus éthiques et engagés sur le web,
j’habite en habitat léger et j’œuvre (avec vous ? 😊 ) pour co-créer un paradigme holistique !

Manon Rolland
Chorégraphe des mots
& ouvreuse d’imaginaires

Sa bio

J’ai longtemps été en colère, contre la société qui fait semblant de ne pas savoir, contre les gens qui savent mais n’agissent pas, contre moi qui ne faisais pas assez. Comme c’était fatiguant, j’ai préféré commencer à construire l’après, maintenant : en travaillant dans l’associatif, l’humanitaire et l’éducation populaire, puis en tant qu’enseignante de Lettres au collège, parce que la littérature est un formidable moyen de questionner le présent et d’ouvrir des futurs plus désirables. En écrivant un roman d’anticipation écologique, pour rêver à un monde qui a su se reconstruire après un effondrement. Et puis en fondant un habitat participatif et un tiers-lieu écologiques dans le Jura, le Clos de la Louve, pour y vivre mon utopie et donner envie à d’autres de se lancer dans l’aventure du nouveau monde.

Aline Bué
Journaliste engagée
au service du Vivant

Sa bio
Je suis passionnée par l’étude des animaux, la protection de l’environnement et les modes de vie alternatifs. Après mes études de journalisme, j’ai ressenti le besoin de m’investir pour tout cela. Je me suis investie bénévolement dans plusieurs associations, j’ai travaillé dans des refuges pour animaux sauvages et entrepris des formations pour acquérir le maximum de connaissances sur ce monde fascinant qui nous entoure. Ce qui m’intéresse, c’est de rencontrer les personnes inspirantes qui œuvrent pour préserver la beauté de notre monde et de mettre en avant leur travail, leurs idées. Et puis, j’essaie à mon tour de mettre à profit mes compétences au service du Vivant.

Benoit Bride
Ingénieur énergie et permaculteur

Sa bio

Étant né dans le Jura au milieu des champs et des forêts, je me suis toujours considéré comme un simple élément de la nature, un être vivant parmi d’autres. Il découle de ce sentiment que, pour tout humain doué soi-disant d’intelligence, protéger son cadre de vie devrait être une priorité, car c’est ce cadre qui lui permet de vivre pleinement.

Dans ma première vie d’adulte, j’ai donc travaillé sur des innovations à même de réduire notre impact négatif sur l’environnement, comme ingénieur et chercheur dans la production d’électricité. Mais changer l’industrie de l’intérieur est une gageure, et les années 2000 ont plutôt précipité nos sociétés vers un consumérisme toujours plus prédateur. Je me trouvais dans l’impossibilité de jouer un rôle social positif dans ce cadre industriel, j’ai donc quitté ce domaine pour travailler en indépendant dans la sobriété énergétique.

Puis j’ai découvert la Permaculture en 2017, alors que j’avais déjà bien abordé ma transition personnelle et professionnelle. Comme beaucoup, je pratiquais déjà la Permaculture sans le savoir, mais j’ai tout de suite adoré cette approche globale qui réunissait de nombreux centres d’intérêt, depuis les économies d’énergies jusqu’aux matériaux naturels en passant par le jardinage et l’apiculture…
A partir de ce moment, j’ai intégré les principes permaculturels dans mon activité autour des économies d’énergie dans l’habitat, et aujourd’hui je cherche à approfondir cette approche dans la conception de différents lieux et dans l’expérimentation et la démonstration de low-techs

http://www.pachama.eu/

Notre archipel d’explorateur·ice·s et d’enrichisseur·euse·s

Nos explorateur·ice·s représentent L’Archipel du Vivant dans leurs territoires.
Nos enrichisseur·euse·s partagent leurs témoignages, émotions et points de vue sur notre espace Expression Libre.
Certain·e·s sont à la fois enrichisseur·euse·s et explorateur·ice·s. Un immense merci à toutes et tous !

Anne-Laure Nicolas
Permacultrice humaine
.

Sa bio

Anne-Laure Nicolas est la co-fondatrice et la coordinatrice du Pôle Territorial de Coopération Economique Eco-Domaine Le Bois du Barde situé en Kreiz Breizh (Centre Bretagne). Autodidacte de formation, elle a suivi en parallèle de ses études agricoles, le chemin de l’éducation populaire en devenant animatrice poney, directrice de structure puis responsable enfance pour une collectivité.

Elle a rêvé de la création de son lieu dès son plus jeune âge, et a commencé l’aventure en premier avec sa famille dès 2006 puis en créant le collectif économique à partir de 2011. Elle est aujourd’hui reconnue comme une des spécialistes de la permaculture humaine et sociale en France grâce à son expérience de terrain importante autour de son lieu.

Lætitia Vitaux

Sa bio

1997. Mon père me bassine avec l’écologie. J’ai 17 ans et d’autres chats à fouetter.
2008. Avec mon collègue de master en architecture, on gagne un prix Développement Durable. Je vois pas où est le problème.
2011. Tentative hasardeuse de verdir mon activité en devenant indépendant. Je sens qu’il y a un loup.
2012. Lecture de « Faut-il manger les animaux ? ». J’arrête la viande 3 mois plus tard.
2015. Découverte de la décroissance. Tout s’éclaire. Le développement durable est une farce. La croissance, une religion. Je m’abonne au journal Moins !
2016. Magnifique exposition « Objectif Terre : Vivre l’Anthropocène ». L‘humanité est une force géologique.
2017. Discussions passionnantes au sein du forum technocritique « Nos Futurs ». Le progrès technique est une idéologie qui nous envoie dans le mur.
2018. Plongée dans le milieu collapso (Anna, Keller, Mignerot, Servigne, etc). Les menaces d’effondrements sont sérieuses.
2019. Étonnante conférence « Comment favoriser des comportements plus respectueux de l’environnement ». La psychologie sociale et la communication aiguisent ma curiosité.
2020. Intégration à l’équipe modo d’un groupe collapso pour favoriser les rencontres des membres. Je multi-fresque : Biodiversité, Climat, Economie circulaire, Low-techs, Nouveaux Récits, Numérique, 2 tonnes, etc.
2021. Débranchement de mon frigo et engagement auprès de l’association futurs proches pour stimuler la création de futurs inspirants grâce à l’écriture.
2022. Bifurcation professionnelle (toujours en cours). Auto-formation sur les sujets marketing et communication dans une perspective décroissante.
2023. Formation à l’animation de la fresque des frontières planétaires.
2024. Co-création de Détox ton site, mini-formation pour apprendre aux écolos à créer un site minimaliste et accessible aux personnes en situation de handicap.

Photo Soufiane Kania-Kharroubi

Cédric Liardet
Éco-trappiste
.

Sa bio

1997. Mon père me bassine avec l’écologie. J’ai 17 ans et d’autres chats à fouetter.
2008. Avec mon collègue de master en architecture, on gagne un prix Développement Durable. Je vois pas où est le problème.
2011. Tentative hasardeuse de verdir mon activité en devenant indépendant. Je sens qu’il y a un loup.
2012. Lecture de « Faut-il manger les animaux ? ». J’arrête la viande 3 mois plus tard.
2015. Découverte de la décroissance. Tout s’éclaire. Le développement durable est une farce. La croissance, une religion. Je m’abonne au journal Moins !
2016. Magnifique exposition « Objectif Terre : Vivre l’Anthropocène ». L‘humanité est une force géologique.
2017. Discussions passionnantes au sein du forum technocritique « Nos Futurs ». Le progrès technique est une idéologie qui nous envoie dans le mur.
2018. Plongée dans le milieu collapso (Anna, Keller, Mignerot, Servigne, etc). Les menaces d’effondrements sont sérieuses.
2019. Étonnante conférence « Comment favoriser des comportements plus respectueux de l’environnement ». La psychologie sociale et la communication aiguisent ma curiosité.
2020. Intégration à l’équipe modo d’un groupe collapso pour favoriser les rencontres des membres. Je multi-fresque : Biodiversité, Climat, Economie circulaire, Low-techs, Nouveaux Récits, Numérique, 2 tonnes, etc.
2021. Débranchement de mon frigo et engagement auprès de l’association futurs proches pour stimuler la création de futurs inspirants grâce à l’écriture.
2022. Bifurcation professionnelle (toujours en cours). Auto-formation sur les sujets marketing et communication dans une perspective décroissante.
2023. Formation à l’animation de la fresque des frontières planétaires.
2024. Co-création de Détox ton site, mini-formation pour apprendre aux écolos à créer un site minimaliste et accessible aux personnes en situation de handicap.

Rudy Rigollet
Viking explorateur des mondes alternatifs

Sa bio
Bio en attente

Maxime Giordano
Fédérateur et Co-fondateur du FIFES

Sa bio

Natif du département des Alpes-Maritimes, mes ancêtres viennent de Bretagne et du Piémont Italien. Élevé dans une famille d’hôteliers, j’ai grandi à Cannes, capitale mondiale du Cinéma et de la société du spectacle. Après un bac Scientifique et une licence d’Histoire-Géographie à l’Université de Nice, je pars en solitaire pour 19 mois de voyage à vélo à travers le Monde (Europe du Nord, Scandinavie, Russie- Mongolie, Australie, Amérique du Sud) où me rejoindront au gré des chemins, famille et amis.

De retour d’expédition, je retourne à l’Université de Nice pour effectuer un M1 en Information et Communication ou je rencontre mon épouse et compagne de vie Sundari. Un Master Spécialisé en Management Stratégique du Développement Durable à Skema commencera ma formation sur les thématiques du changement et de la transition. Après m’être frotté à l’univers des grandes entreprises à Paris (Club Med, pôle DD) et ayant compris que le changement n’avait que peu de chance de naître au sein de ces grands groupes, nous décidons de repartir en voyage sur les chemins du Monde. Nous commençons par un voyage en vélo et la création d’un Food Truck crêperie en Nouvelle-Zélande, puis à Tahiti, Moorea et au Mexique toujours en 2 roues chargées. Un passage en Amérique centrale et 11 mois de vie dans le département de Cusco au Pérou que nous explorons des plus hauts sommets andins jusqu’à la selva Amazonienne. Une descente de l’Amazone en bateau jusqu’en Colombie en passant par Iquitos puis nous restons 3 mois à travailler dans les cultures du chanvre en Californie. La dernière partie de notre voyage de 3 ans en couple nous amène en Asie du Sud-est (Thaïlande, Laos, Cambodge) à l’exploration des sites d’escalade dans ces contrées puis plusieurs mois en Inde du Sud entre Auroville et un voyage à moto au Tamil Nadu et Kerala. Retour en Europe par la Grèce et ayant la bougeotte nous repartons marcher le GR 5 depuis notre vallée de la Vésubie jusqu’au Mont Blanc.

Un retour de grand voyage qui nous met dans l’action à échelle locale en commençant notre projet de création d’un lieu autonome sur notre terrain situé sur la commune de Roquebillière en vallée de la Vésubie ( auto-construction, aménagement agricole et sylvicole, autonomie en eau et électricité, accueil de sessions de woofing) Le retour de voyage nous amène aussi notre premier cadeau de la vie, notre premier fils Edan suivi de son frère Millian qui nous enchantent et nous font repartir chaque hiver  ( avant Covid…) pendant 1 à 2 mois sur les routes du globe et de ses merveilles ( Chili, Thaïlande, Egypte, Hawaï et Californie). Parallèlement à cette quête de liberté et d’autonomie, les expériences acquises au cours des voyages m’ont fait me rendre à l’évidence que je ne pourrais plus jamais être salarié classique. Je crée avec un ami d’enfance une société de gestion d’appartements pour les congrès et les vacanciers en centre-ville de Cannes, venant renforcer le groupe de l’hôtel familial. Six années d’activités et la crise du Covid arrivant, les envies de se diversifier et œuvrer pour le changement et le renouveau à échelle plus importante que notre cercle familial nous mène vers LUMIA pour participer à cette école de demain qui nous correspond et peut nous permettre de développer des projets qui ont du sens.

Nous vivons à Vallauris, la cité des potiers du Sud-est de la France et bercés par le bleu azur de la méditerranée et les restanques d’oranges douces et amères je suis prêt à fédérer l’ensemble des acteurs de notre département au sein de ces bio régions et faire que l’archipel du vivant vibre et résonne comme une évidence au sein de chaque maralpin, qui come nous le revendiquons sont « des montagnards qui ont les yeux tournés vers la mer ».

Le site du FIFES

Sundari Giordano
Formatrice, illustratrice et co-fondatrice du FIFES

Sa bio
« Vous pouvez couper toutes les fleurs mais vous ne pouvez pas empêcher le printemps de venir. » Pablo Neruda

Le site du FIFES

Karin Degunst
Prêtresse veau doux sans abattoir

Sa bio
Née dans les corons et le cœur en Bretagne, admiratrice de salamandres et de nombrils de Vénus.
Ma plus grande victoire serait de pouvoir un jour saisir sans frémir une belle et grosse araignée.
Ma plus grande défaite serait de ne jamais y arriver.
Sinon, quand je ne suis pas entrain de marcher dans la forêt, j’écris des livres sur des sujets aussi divers que la PMA, l’enseignement, la chasteté des prêtres catholiques, le concile de Constantinople et les faux-cils de Kim Kardashian.
Mon petit dernier vient de sortir : « La mue », où je tisse des liens entre le « mauvais » sort que nos sociétés modernes ont fait à la mort, la spiritualité et au Vivant.
Et quand je veux être dans le rang, j’anime des ateliers de sensibilisation à la transition écologique pour les scolaires.

Carole Degouy
Artiste alchimiste du végétal

Sa bio
J’ai vécu presque 30 ans à Paris, plutôt à côté de mes baskets et j’en possédais beaucoup ! Est-ce à dire que je vivais beaucoup à côté de mes baskets ?! J’achetais des fringues, énormément de fringues, du maquillage, qu’avais-je donc à masquer autant ? J’achetais donc j’existais. J’ai tristement œuvré pour l’industrie agroalimentaire en qualité de R&D pendant 25 ans : j’ai développé des centaines plats cuisinés pleins d’animaux. Cela dit, j’ai accompli également de belles choses aussi comme la création de gammes de plats végétaliens (pour le catering aérien, pour des chaînes de restauration) au moment où mon corps me soufflait « arrête de manger des animaux morts, arrête de boire du lait d’un autre mammifère » (sérieusement, ça fait pas de sens !). J’ai coopéré, très peu, pour la Grande, très grande distribution. J’en suis vite partie au bout de 2 ans par dégoût. Et de toutes les manières, je me serais fait virer car j’ai eu un jour l’audace, l’outrecuidance de quitter le bureau d’un acheteur d’une centrale de chez E.Doudou pour le motif qu’il me parlait mal.
Je vous passe les épisodes de divorce, de chamailleries au tribunal, du fait d’éveiller seule un enfant : bref, tout ce que la vie en ville peut produire de complications et de difficultés. Ce que je n’avais pas entrevue, c’est que j’étais moi-même LA complication et LA difficulté. Bienvenue en thérapie donc. J’ai amorcé ma transition en 2007 en quittant Paris, puis le salariat en 2009. Je me suis lancée dans l’entreprenariat en pleine crise économique (je n’ai jamais eu la TV, ni lu la presse, j’ignorais ce qui se tramait alors dans le pays !) et en toute insouciance j’ai ouvert une jolie épicerie fine en Alsace. J’ai adoré jouer à la marchande pendant 4 ans et demi, j’ai moins aimé être plumée par les taxes et autres RSI. Je n’ai ni perdu d’argent, je n’en ai pas gagné non plus. Opé blanche et solitaire.
Durant tous ces passages décrits, il y a juste un sujet où j’assurais je crois : la nature de ce que je mangeais ! J’ai toujours cuisiné avec des ingrédients choisis et bio.
Et puis, il y a eu 2016 : l’année de mes 50 ans. L’année de l’immobilité totale, du néant à bord, l’anesthésie la plus complète dans mon existence, plus de job, plus de sous. La précarité m’a fait rencontrer une terre inconnue et ce terrain connu aujourd’hui constitue l’essentiel de ma vie ! Une existence simple, le centrage sur les essentiels, les pieds dans la terre, la tête dans les étoiles, l’accomplissement de mes rêves, surtout les plus dingues : j’ai été slasheuse (merci Jean Christophe pour l’apprentissage de ce mot !), j’ai ouvert une boîte de conseils, j’ai écrit un 1er livre de cuisine, j’ai bossé pour une asso, j’ai rencontré le meilleur des chéris, je suis retournée aux études pour un M2 à Paris-Sorbonne, oui, tout ça en même temps et si joyeusement.  Et puis, en 2019, j’ai mis les voiles avec Chéri !
Vous trouverez la suite de mes aventures sur mon site et le blog que j’anime !

Isabelle N
Fée du Vivant
et Sorcière des éléments

Sa bio

Grâce aux bains d’enfance dans les eaux ardéchoises et dans l’océan breton, grâce au rire de ma mère, aux sifflements de mon père, à l’amour de mes 3 frères et de notre petite chienne Comète, grâce aux lointains voyages et aux beautés rencontrées en chemin, j’ai gouté le nectar de la vie sur terre, je connais le paradis, j’en redemande sans fin.

C’est le rythme puissant des tambours des Garifunas du Honduras et le mouvement des vagues qui m’ont menée au corps dansant.
Ce sont les voyages lointains et les chants tribaux en cercle qui m’ont plongée dans l’ivresse d’être humaine…

Je sens dans tout mon corps que le cercle est bien plus grand que je ne pourrais l’imaginer. Il s’élargit à l’infini, il ne fait qu’un avec la terre, avec tout l’univers… Dans le cercle, chacun, quelle que soit son espèce d’appartenance, qu’il soit dans le manifesté ou dans l’invisible, est l’égal de tous, unique en son genre, vibrant et lumineux. Tous les êtres font la ronde depuis la nuit des temps.

Comment prendre soin de la beauté du monde ? Comment retrouver la mémoire de notre interconnexion ? Comment parler de l’urgence d’aimer la terre comme nous exhortent à le faire les peuples autochtones des 4 coins de la planète depuis des siècles ?

Consciente à l’extrême de la souffrance innommable des animaux esclaves de notre système et leur génocide qui n’en finit pas de se perpétrer dans l’indifférence quasi générale de l’humanité, j’ai rejoint One Voice puis la REV en espérant pouvoir apporter mon aide par des plaidoyers de rue et des clips poétiques. J’ai choisi de mettre l’art et la poésie au service de la cause animale et planétaire qui est aussi la cause humaine. J’espère pouvoir contribuer à ma façon à faire entendre la voix de ceux qui ne peuvent pas se défendre du fait même de leur totale innocence…

La poésie est une de mes alliées sublimes. Elle a pour moi des pouvoirs magiques. Elle est amorale, hors de la dualité, Elle permet d’abolir le sentiment illusoire de séparation.  Elle œuvre hors du temps, elle dialogue avec l’âme, la mienne, la tienne, avec l’esprit des éléments, avec les arbres, avec tous les êtres de ce monde et des mondes invisibles…Elle cherche à viser le coeur. C’est ma cible.

En 2019, inspiré par la salamandre j’ai crée le mouvement Ondes de rêve pour rassembler une tribu abusant du chant pour célébrer la terre et tous les êtres vivants. Cela n’a pas encore fait écho parmi l’espèce humaine mais je sais que je ne suis pas seule, mes centaines de milliards d’amours, les bébés humains, les animaux, les arbres, les fleurs…les éléments sont là toujours avec moi.

Je ne peux décrire l’émotion qui est la mienne à l’idée de rejoindre L‘Archipel du Vivant. Mon rêve de trouver une famille humaine d’âme semble enfin se réaliser.

 

J’ai commencé mon parcours par des études en ethnologie à l’université Paris X, jalonné de voyages longue durée en Amérique centrale, au Mexique, en Indeet je me suis formée à différentes pratiques artistiques et initiatiques.

Après un premier livre Frisson Animal dédié à la terre, deux autres tomes (Feu / air et eau) sont en cours d’écriture, ainsi que d’autres albums inspirés des spectacles et des textes que j’ai écrits.
J’utilise d’autres modes de sensibilisation : Exposition de portraits d’animaux au pastel en grand format et par des lectures poétiques.

Je suis plante sauvage, amoureuse de la terre
Rien ne peut me déraciner, même pas le vent
Je me fais souple quand il vient et avec lui je danse…

1011
Artiste contemporaine
.

Sa bio
« L’art désincarné n’est pas celui de 1011. Sous cette signature binaire incluant un mari philosophe, se tient le thème générique de son œuvre : la soumission de l’homme au déchaînement de la technique et à ses effets considérables dans l’histoire (la déshumanisation intégrale dans la Shoah, les violences culturelles spécialement faites aux femmes, l’aveugle fascination pour la technologie…).

Ses dessins, installations ou photographies brodées, sont ainsi le plus souvent des représentations physiques de la question à laquelle la technique moderne soumet les hommes des vingtième et vingt-et-unième siècles.

La place de l’engagement politique dans son œuvre ne se dément donc jamais, convaincue par Einstein que : « Le monde ne périra jamais par ceux qui font le mal, mais par ceux qui les regardent sans rien faire ». Au risque permanent de choquer au pire et d’éveiller les consciences au mieux ! En somme, l’œuvre de 1011 ne cherche pas tant à produire des réponses qu’à faire « vivre les questions« * de notre « humaine, trop humaine condition« **.

* Rilke

** Nietzsche

Le site de l’artiste

Jean Rigolejaune
Artiste plasticien de l’Anthropocène

Sa bio

Jean Rigolejaune, né le 31 avril 1748 selon la police, 2094 selon les syndicats, à Contrecourant, est un artiviste plasticien français comptant pour rien.

Son père était parent. Sa mère n’était pas marrante.

Dès l’âge de trois ans, il essaie de se conformer à la société gâtée dans laquelle il est plongé. Très vite, il accumule les récompenses : Oscar du meilleur scénario vide, César du meilleur désespoir masculin, Molière de l’employabilité, Légion d’honneur pour collaboration docile et insouciante à une société délétère.

Échauffé par toutes ces réussites, son cortex finit par s’embraser. Il s’éloigne alors de sa vie superbement superficielle, fabuleusement fatigante, et confortablement conforme, et s’extraie de son métier d’ingénieur ingénu.

Il s’accroche désormais aux branches de la création artistique, de l’admiration littéraire, de l’humour jaune/noir, de l’éducation de ses enfants, de l’amour et du respect du Vivant (occupations, reconnaissons le, bien plus grotesques et futiles que la bonne grosse soif inextinguible de pouvoir, d’argent et d’achats compulsifs), pour s’éviter l’abîme d’un pessimisme vertigineux et tétanisant.

Son site web : https://www.jeanrigolejaune.com

Jean-Baptiste Grangier
Artiste terrien
.

Sa bio

Pourquoi sommes-nous ici, maintenant et où pourrions-nous être ailleurs et demain ? Telle est la question qui sous-tend mon travail. Ma pratique mélange références historiques, scientifiques et fictionnelles en partant d’images que je crée ou choisis pour leur potentiel narratif et/ou symbolique. Elles ressurgissent ensuite sous de multiples formes plastiques – dans le temps – devenant ainsi autant de traces et de témoignages d’un rapport paradoxal au monde, allant d’une réflexion sur nos croyances utopiques aux discours écologique.

Le site de l’artiste : https://jeanbaptistegrangier.earth/

Crédit Photo : Rémi Chautant

Yann Urbon
L’éco-écho lié
.

Sa bio
Explorateur de ma vie depuis 20ans, mon voyage a commencé.
Depuis le début, mes yeux regardent le monde évoluer, j’entends les échos des bruits de notre civilisation et j’en ressens les mouvements.
Animé par un idéal qui se déssine de jour en jour, je cherche à faire de mieux en mieux.
Je navigue dans le Réel et l’ Imaginaire pour remplir mon carnet de bord des plus belles expériences, les plus sages, en quête de sens. Comme un grand jeu dont le but est de continuer à jouer, je définis librement mes conditions de victoire et mes règles, pour qu’ensemble les joueurs puissent s’offrir les meilleures parties.

Jusqu’à présent, mes aventures dans le penser et l’agir m’ont embarqué jusqu’à l’Assemblée Nationale et au Parlement Européen avec le collectif Génération d’Avenir pour faire entendre le message de la jeunesse. Sans y voir de réels impact, j’ai ressenti le pouvoir du verrouillage politique.
Sans baisser les bras, je me suis engagé dans des collectifs comme Youth for Climate et Extinction Rebellion, en portant mes idéaux.
Parce que mon histoire manquait de changements palpables, j’ai changé d’échelle pour me concentrer sur mon environnement perceptible. C’est en voulant transformer le modèle lycéen de l’intérieur que j’ai crée Idealy.C. Mon premier projet associatif était né pour induire le déclic et accompagner la transition par l’action.

Cette question de transformation plus ou moins globale et radicale m’a poussé sur la route de l’hypnose. On ne manque jamais trop d’interrogations, donc l’adaptation et la résilience ont intégré mon cheminement de pensées.
En trouvant des sources de réponses comme L’Archipel du Vivant et en les investissant dans mes projets symbiotiques, j’en suis aujourd’hui arrivé à rédiger ces lignes, qui seront bientôt visibles dans les branches de mon arbre. TRIPS is coming, bon voyage !

Véronique Helmlinger
Ouvreuse
des portes de l’espérance

Sa bio
« S’il faut absolument qu’on soit contre quelqu’un ou quelque chose,
je suis pour le soleil couchant en haut des collines désertes,
je suis pour les forêts profondes » `
Barbara

Dans la tresse de ma vie s’entrelacent le goût pour la beauté, l’amour de la poésie, la joie des surprises.
Ajoutons-y le plaisir de travailler les fils.
Fil de coton, de laine et de lin, fil du lien entre les êtres.
Et celui de cultiver un jardin et, avec autant de soin, les amitiés, précieuses, précieuses.
Car l’amour est un trésor déposé entre nos mains jointes, qu’il nous faut protéger, caresser, réinventer encore et encore.
Parmi ces amis, il en est un dont je ne connais pas l’âge, mais qui tient avec majesté sa chevelure d’argent dans le vent des soirs. Je le salue bien souvent au passage. C’est un saule.
Je navigue sur les chemins en longues randonnées et je navigue au fil de l’écriture qui raconte tout cela, en d’extraordinaires déclinaisons.
Et j’écoute les musiques de l’âme, celles des êtres que je reçois dans ma consultation de psychiatre, et dont je tente d’accompagner les métamorphoses.
Car comme l’amour, le soin est un trésor, si malmené ces temps derniers, sur lequel il nous faut veiller avec une délicatesse infinie.
Je réponds à William Sheller, qui « veut être un homme heureux », je veux être une femme vivante, aussi pleinement que possible .
C’est de cette étoffe-là que je me sens faite !

Photo Soufiane Kania-Kharroubi

Pamela Adam
Sorcière de la beauté holistique

Sa bio

Je suis Pamela, Française d’origine Colombienne Libanaise, j’ai grandi en Afrique au Nigeria à Lagos. Ma passion pour les voyages culturels m’ouvre un chemin d’ouverture à l’autre de par les traditions ancestrales riches de sens.

Mon passé et mes expériences m’ont fait traverser différentes tranches de vie qui m’ont amenée aujourd’hui à comprendre plus en détails une part profonde de moi et de mon féminin sacré.

J’ai subi 5 opérations assez lourdes au niveau de la sphère gynécologique, ce qui m’a permise de comprendre un peu plus le féminin sacré. Mes expériences professionnelles en entreprise m’ont fait prendre également conscience d’une certaine injustice quant au fait que l’empathie et l’hypersensibilité n’étaient pas les meilleurs atouts pour tous. Or je suis convaincue à ce jour que l’avenir est dans la collaboration et l’entraide à échelle humaine et comme j’aime dire « le Partage ».

Ma vocation est de transmettre des clefs d’une meilleure connaissance de soi au travers de pratiques tel que le massage, la naturopathie, l’ayurveda et l’art thérapie, je souhaite amener les femmes et aux hommes à se connecter à leur sensibilité et à ressentir comment l’autoguérison peut être un outil puissant pour le corps et l’esprit.

Cette approche Holistique à pour nécessité de s’ancrer de manière rationnelle et ésotérique à la plus belle version de vous-même.

Un massage, un soin énergétique du visage, un soin énergétique LaHoChi, un Chi Nei Tsang, faites-vous du bien, votre corps et âme vous remercieront !!!

Le site web de Pamela

 

Photo Soufiane Kania-Kharroubi

Bruno Chaplot
Papa des Collapsonautes

Sa bio
De formation traditionnelle à l’Académie Charpentier à Paris, j’ai appris toutes les palettes des métiers graphiques allant de la prise de vue, l’illustration au design typographique.
J’ai également suivi des formations professionnelles pour le web aux Gobelins à Paris.
Avec plus de 15 ans d’expérience, notamment en agences parisiennes, dans les secteurs du luxe et de la cosmétique, tous deux aux prétentions très élevées. Je me suis fait une solide expérience en matière d’exigence dans mon travail, de réactivité face aux clients, d’attention et de compréhension de la demande.
J’apporte depuis 3 ans tout ce que j’ai appris directement à mes clients ; des conseil, de la stratégie, mon écoute, mon savoir-faire…

 

Les Collapsonautes sur Facebook : https://www.facebook.com/collapsonautes?locale=fr_FR

Photo Soufiane Kania-Kharroubi

François Hellot
Aventurier épicurien
en quête de sens

Sa bio
Difficile de se définir, car cela implique de « s’essentialiser »… et de devenir une chose presque imuable or l’être humain évolue sans cesse…

Je suis marin, skipper et moniteur de voile aux Antilles et comme Paul Watson de Seashepard « mon métier c’est de faire des vagues. »

Aventurier : car j’aime bouger, j’aime le voyage, j’aime rencontrer les gens et discuter, et c’est une prise de risque, à chaque fois, à laquelle j’aime me confronter. 
J’aime les échanges d’idées, le débat, j’aime être perturbé dans mes perceptions du monde… cela permet de s’enrichir et de mieux le comprendre. 
Je ne suis pas toujours dans le consensus et cela peut parfois déranger, gêner, choquer….. Je ne fais pas dans le politiquement correct. J’ai du mal avec l’hypocrisie et « Je préfère être detesté pour ce que je suis, plutôt qu’être aimé pour ce que je ne suis pas. » George Simenon.

Épicurien
J’emprunterai ma devise à Spinoza et aux épicuriens, qui pourrait être d’ « user des choses et y prendre plaisir autant qu’il se peut, sans faire de tort à autrui » ou à soi-même rajouterai-je.
Aujourd’hui, face à ce qui nous attend, il peut sembler difficile de profiter, mais sans plaisir il est difficile de se mettre en action. Il suffit d’être raisonnable. La joie et le plaisir nous donne notre puissance d’agir. Je suis donc également à la recherche de ce moteur pour continuer à progresser contre le vent et la marée de la pensée unique.

En quête de sens
Quel sens donner à sa vie ?  Est ce que vivre se résume à s’enrichir pour jouir sans entraves, et à consommer dans une totale insouciance ? 
Je pense que nous devons laisser une empreinte dans cette vie (sauf au niveau carbone 😉 ).
C’est pour cela qu’en août 2022 j’ai décidé de partir à l’aventure, sur un tour de France à pied et à vélo à la rencontre des gens et des alternatives au système capitaliste (un début de trace peut être…).
Je suis indigné et révolté de voir avec quelle insouciance, mépris, ou cupidité nos gouvernements agissent et créent de plus en plus d’inégalités sociales et de destruction environnementale. 
Je suis parfois découragé de voir la résignation populaire bien dressée, à ne prendre en compte que ses intérêts particuliers. 
Alors ce périple fait du bien ! Ça a du sens ! Quel plaisir de rencontrer des gens engagés et non plus résignés, apathiques, ou dépolitisés (au sens de prendre part à la vie de la cité).
Vous pouvez me suivre :
– mon site de présentation : www.onavance-onreflechit.fr 

Utopisteur
Explorateur d’un monde postcroissant & vivant

Stéphanie Eekhout
Art Herboriste, gardienne de la terre et guide qui éclaire

Sa bio
Ce grand Vivant, qui nous traverse et pour lequel je suis de plus en plus à l’écoute, au fil de ces années, à vivre plus proche de la terre,de l’eau des rivières, de la mer, des montagnes, des forêts,… guidée vers la transmission de ce grand amour pour lui, de cette réceptivité du cœur, dans le corps par l’intermédiaire de ces grandes Gardiennes de la Terre, les plantes.
Mon chemin d’itinérante, d’exploratrice des eco-lieux, de communautés, de lieux naturels, des paysages, des rivières, est guidée par cette transmission de l’Art Herboristerie, l’art d’être Vivant.e, de se sentir Un.e avec ce grand tout et de le partager. De respirer et d’être respirée. De marcher avec les plantes et d’être marchée avec elles.
Ma proposition de vie est celle de guider sur ce chemin par des cercles de transmission, des voyages végétaux sensoriels, des guidances par la voie des plantes, de praticienne en herboristerie, de psychologue dans la reliance de notre part sauvage, vivante grâce aux plantes par nos sensations corporelles. J’interviens, selon les rencontres, sur des événements alternatifs, des foires aux plantes, des marchés artisanaux, au sein des associations, chez vous, la proposition est écrite ensemble selon les couleurs de nos besoins et découvertes.

Frédéric Farre
When hope dies, action begins

Sa bio
Entrepreneur dans le conseil à l’international depuis 15 ans, je suis père de 3 enfants alors que j’approche des 50eme rugissants…Comme pas mal de soixante-huitards, j’ai eu la chance d’avoir une vie pro assez riche en expérience et rencontres. J’ai notamment vécu plus de 10 ans à Istanbul.
« Commerçant » de formation (https://www.linkedin.com/pulse/ce-que-jaurais-bien-voulu-apprendre-de-mon-%C3%A9cole-mes-frederic/?trk=mp-author-card), j’ai fait 15 ans de bon et loyaux services à l’export avant de créer en 2004 ma boite de conseil qui a pu accompagner plus de 350 clients dans les domaines des cleantechs et greentechs principalement.

 La perte assez brutale de proches et des problèmes de santé chroniques & récurrents dans nos familles nous ont amenés  à se poser des questions sur  notre part de responsabilité face à la maladie. …Nous sommes passés en quelque sorte du sens des affaires à la quête de sens ! Je me suis rendu compte que notre manière d’appréhender la maladie était biaisée par un certain nombre de fausses croyances…au centre desquelles il y a l’alimentation . La prise de conscience qui a suivi ces découvertes ont passablement changés notre «  business as usual » et finalement bouleversés notre vie.

 

Michel Hutt
Romancier, obsédé textuel
et raconteur d’Huttopies
 

Sa bio
Michel Hutt est tombé tout petit dans les histoires. Il a traversé l’enfance un livre à la main, quand il n’était pas occupé à pédaler ou à gambader dans la montagne. C’est donc en toute logique qu’il est devenu « obsédé textuel » dès le plus jeune âge et a commencé lui-même à jouer avec les mots, puis à écrire. Après s’être intéressé principalement à la poésie et au théâtre, il s’est mis au roman et à la littérature jeunesse à la fin du siècle dernier, en privilégiant l’humour et les dialogues. Plus que par le narrateur, ses récits très vivants et originaux sont portés par les personnages, hauts en couleur et terriblement attachants.
Il s’emploie depuis plus de dix ans, par l’écriture comme dans sa vie quotidienne, à imaginer ce que pourrait être un « effondrement soutenable », en partageant dans ses romans des idées et outils pour vivre le mieux possible en temps de crise.
La pédagogie, ça le connait : Michel Hutt a été enseignant pendant vingt-sept années en maternelle et élémentaire, avant de quitter le métier fin 2016 pour se consacrer davantage à l’écriture et à ses engagements associatifs, notamment au sein d’un cinéma indépendant et d’un refuge de montagne. Habitué au contact avec le jeune public, Michel intervient régulièrement dans les établissements scolaires, de la primaire au lycée, pour y mener des projets pédagogiques autour de la lecture et de l’écriture. Il anime aussi des ateliers d’écriture en médiathèque.

Citoyen engagé, il a également été élu local, correspondant de presse, gardien de refuge bénévole et a co-fondé le mouvement de Transition en Alsace. Bricoleur incurable, il aime fabriquer, réparer et transformer toutes sortes de choses. Il a construit en 2014/2015 une maison autonome en paille entourée d’un verger et d’un potager en permaculture, véritables réserves de biodiversité où n’entrent jamais ni machines ni produits chimiques. C’est là qu’il se ressource et mijote ses futurs récits.

Il n’y a jamais bien loin entre l’univers des romans de Michel Hutt et la réalité. S’il a les pieds sur terre, au sens propre comme au figuré, il aime imaginer une société plus heureuse et plus juste, en harmonie avec la Nature. Ses romans ne sont ni des dystopies ni des utopies : ce sont des Huttopies, tout simplement !

Christophe Moreau
Chercheur de mondes désirables.

Sa bio

Je suis enseignant et conscient depuis mes années d’études des dérives d’un système que je combats toujours comme militant syndical et élu du personnel.

J’étais sensible à l’écologie comme tout citoyen lambda, mais mon intérêt pour l’écologie est allé grandissant à mesure de l’intensification de manifestations climatiques extrêmes (tempêtes Lothar et Martin de 1998, canicule de 2003…). Je pensais qu’une prise de conscience émergeait peu à peu avec son lot de solutions adaptées, résumées dans les 17 objectifs du développement durable pour sauver le monde de l’ONU que je devais enseigner, et que le temps n’était pas compté.

Mais plusieurs événements vinrent saper ces certitudes.

Le premier coup fut politique, avec la démission du ministre de la Transition écologique et solidaire Nicolas Hulot le 28 août 2018 me révèle une toute autre réalité.

Le deuxième coup fut scientifique, avec la publication du communiqué de presse du GIEC sur le Rapport spécial du GIEC sur les conséquences d’un réchauffement planétaire de 1,5 °Cle 8 octobre 2018 et celui de l’IPBES sur Le dangereux déclin de la naturedu 6 mai 2019.

Le troisième coup fut événementiel, avec les canicules et les incendies sans précédents de 2019.

Ce n’est qu’alors que je pris conscience de la distance entre les discours, les programmes scolaires, les actions et la réalité. Je me tournai alors vers la collapsologie, terme sur lequel j’étais tombé par hasard quelques mois plus tôt sur une recherche Internet.

Le mur de mes certitudes s’écroula enfin avec Web Série Documentaire, Pablo Servigne reçu à Bercy et la démonstration de dynamique des systèmes complexes d’Arthur Keller. Mais un seul pan de ce mur fut néanmoins consolidé : le problème était bien systémique.

Depuis lors, j’enchaîne les lectures et vidéos de conférences (Jean-Marc Jancovici, Philippe Bihouix, Guillaume Pitron, Hervé Le Treut…) et suis régulièrement la parution des communiqués de presse et des résumés des rapports scientifiques rendant compte des dommages causés par ce système (GIEC IPBES, FAO, IEA IRP…) qui me conforment dans ma vision effondriste de l’avenir, surtout avec la parution de l’appel de 1 000 scientifiques dans Le Mondedu 20 février 2020 : « Face à la crise écologique, la rébellion est nécessaire ».

Mais la porte la plus facile à ouvrir pour sensibiliser les personnes aux risques systémiques restant le changement climatique, je suis devenu animateur de la Fresque du Climat et du jeu « Inventons Nos Vies Bas Carbone », au terme desquels certaines personnes prennent conscience que le problème est systémique et que cela relève d’une gageure de le résoudre.

 

Photo Soufiane Kania-Kharroubi

Louis
Micro-explorateur
des mondes désirables

Sa bio
J’aime explorer et créer des nouveaux récits.
Je crois fortement aux changements par l’action collective et la diversité des expériences.

Alors, depuis juin 2020, je me balade en vélo à la rencontre des villes, des personnes, de nouveaux modes de vies… Je raconte ça dans mes carnets et quelques écrits.

Je me bouscule dans mon confort en habitant en collectif, en changeant mon alimentation, en pédalant à longueur à journée. Je tente des formations, des lieux, des métiers pour explorer le futur dès maintenant.

Et j’essaie de créer des espaces pour que chacun puisse proposer sa vision et le vivre dès maintenant.

Ça te dit ? Alors viens à Joigny, j’y ai lancé La Caserne Bascule et un Café Associatif !

Cédric Loy
Citoyen pour un monde respectueux du Vivant

Sa bio
Ingénieur BTP de formation, je suis curieux et intéressé par l’ensemble des activités humaines et secteurs ayant un impact – et notamment un impact négatif – sur le Vivant.

Conscient des enjeux et de l’ampleur des défis, je consacre une partie de mon temps à apprendre toujours plus, pour notamment toujours plus sensibiliser autour de moi par le biais de différents outils et associations.

Parce que je pense que nous sommes capables de relever, collectivement et dans l’entraide, ce défi de taille et parce que le changement climatique et aussi et surtout un problème de justice sociale.

 

Nous avons tous un rôle à jouer, alors au boulot !

Et comme on dirait aux Antilles où j’ai vécu quelques années, Tchimbé Rèd, Pas Moli !

« Aucun de nous, en agissant seul, ne peut atteindre le succès », Nelson Mandela.

 

Photo Ivan Guyot

Virginie Humbrecht
Illustratrice engagée
.

Sa bio

Dessinatrice passionnée toute ma jeunesse, je reprends mes crayons et feutres en 2019 pour éveiller les consciences, sensibiliser et encourager une action citoyenne face à l’urgence climatique. D’abord publiés sur Instagram, mes dessins engagés quittent vite les réseaux pour faire l’objet de plusieurs expositions. Par conviction naturelle, je deviens une illustratrice engagée, incapable d’illustrer des projets avec lesquels je ne suis pas en phase. Ecologie, mais aussi inclusion, culture ou lutte contre les discriminations sont des thèmes qui me sont chers.

www.virginiehumbrecht.com

Victor Noël
Observateur passionné
du monde vivant

Sa bio
Observateur passionné du monde vivant, en particulier des oiseaux, je me suis rapproché d’associations de protection de la Nature dès l’âge de 9 ans. Je tente depuis quelques années de sensibiliser sur l’effondrement de la biodervisté, sur la nécessité de repenser nos liens avec le Vivant et de questionner notre société anthropocentrique. De la protection des espèces sur le terrain à la sensibilisation et à la dénonciation, ce combat m’habite.
Face aux grandes crises qui se jouent, prendre en considération le Vivant au-delà d’une optique uniquement utilitariste est une nécessité.

J’ai écrit deux livres : « Je rêve d’un monde… Plaidoyer d’un adolescent pour la biodiversité » paru en 2020 et « Sur les chemins du vivant » paru en 2022 aux éditions Delachaux et Niestlé

Photo Soufiane Kania-Kharroubi

Simon Duval
Poète sensoriel et artiste des flaveurs et du sens

Sa bio
Depuis quelques années, le mot « Ayurveda » du sanskrit « connaissance de la vie » est entré dans ma vie.
À l’heure où ma quête de sens se met à jour en douceur, mes émotions m’amènent à prendre conscience d’une meilleur digestion.
Quelle soit alimentaire et emotionnelle.
Entre colère, joie, surprise, anxiété, et tristesse entre autres, j’ai compris par ces écrits ancestraux que nos goûts et saveurs était reliés aux éléments qui nous entourent. Fluctuant, dansant avec nos émotions, les goûts et éléments s’associent, fusionnent, s’alchimisent dans un contexte, une saison, une ambiance propre à tous comme une unicité.
Faire briller l’humain de sa lumière occulaire en ritualisant des ateliers ludiques, colorés, et texturés m’offre une nouvelle nourriture spirituelle a transmettre qui me réjouit le cœur et l’âme.
Ma raison d’être se tourne vers la prévention du système digestif et la transmission des influences de l’Ayurveda de manière modernisée et occidentalisée en réunissant une cuisine éthique et ancestrale.

Le site web de Simon

 

Photo Soufiane Kania-Kharroubi

Sandrine Taclet
Activiste visuelle
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Sa bio
Née en région parisienne, je me suis orientée assez rapidement vers le graphisme. L’image, l’art me passionnent pour un moment, c’est ainsi que je travaille six années pour le leader du e-commerce en France mais rapidement, un sentiment étrange de nostalgie, le besoin de nature et d’authenticité me rattrapent. Entre temps je deviens quelqu’un de bio, vegan, childfree. La compréhension des logiques capitalistes, de l’anthropocène, la collapsologie même m’obsèdent. Je quitte donc le monde urbain pour rejoindre le monde rural (quelque part perdue en Bourgogne) pour devenir freelance. J’ai ENFIN un peu de terre pour pratiquer la permaculture, ce qui qui me passionne à un point, chiner/restaurer aussi puis j’ai pu adopter un petit chien..
À présent je vadrouille, en camion aménagé. Changement de forme mais pas forcément de fond car je suis constamment entourée de nature ou que j’aille. Je cueille beaucoup pour me nourrir, je cultive une simplicité de vivre, j’ai davantage de temps pour gambader, faire du sport en plein air, lire, me former, créer autrement.
J’ai décidé de ne plus collaborer que pour des projets à plus value écolo/éthique et prends le temps en parallèle d’illustrer ce qui me touche, les visuels de @Visual4activism (insta) sont tournés principalement autour de la nature et des animaux.

 

Mon instagram engagé : Visual4activism

Moko
Révolté épris de justice sociale et écologique

Sa bio

Guillaume Maussion
Poète de la Brass’Vie

Sa bio
En attente de sa bio

Sébastien Vanzieleghem
Résistant engagé pour une culture de la permanence

Sa bio
Inadapté à ce monde, ou plus précisément au système qui le sous-tend, une rage me dévore intérieurement depuis des années. L’année 2015, puis l’année 2019 ont marqué un tournant décisif dans ma/notre vie; un burn-out sévère, suivi de nombreux problèmes de santé, m’ont porté vers une réflexion existentielle qui m’a permis de faire un grand pas de côté vers  une nouvelle vie. L’idée étant de canaliser et de transformer cette rage intérieure en énergie positive pour la mettre au service d’actions qui me semblent essentielles et nécessaires à la permanence de l’habitabilité de la Terre pour l’ensemble du vivant. Dont entre autre, la création avec mon épouse d’un petit jardin-forêt nourricier (ou plutôt, en passe de le devenir…), la rencontre de personnes conscientes des enjeux de ce siècle et qui oeuvrent au changement, la constitution de réseaux pour accroître collectivement notre résilience locale, le militantisme politique,… Compte tenu de l’urgence, la plus grande difficulté pour moi, est d’identifier les engagements et actions qui seront effectivement les plus efficaces, c’est pourquoi, afin d’élargir l’application de la permaculture à l’ensemble des sphères d’action de l’humanité, et d’essaimer ainsi la culture de la permanence, je mise tout sur la résistance et la production de diversité à tous les niveaux.

Nicolas Verre
Transitioneur et imagineur de terr-eau fertile

Sa bio
Ingénieur de formation, il a occupé des fonctions de manager de production industrielle puis s’est orienté vers le conseil technique à l’international. Cette expérience interculturelle fût à l’origine d’un véritable cheminement vers l’humain. En 2001, il rejoint le monde du recrutement puis devient formateur en management et coach en 2005. Il accompagne les adultes dans leur connaissance d’eux-mêmes, leur relation aux autres et au vivant non humain. Il aide à leur insertion ou transitions professionnelles, dans une optique d’alignement avec qui ils sont…

Nicolas est très engagé dans le développement de liens respectueux entre les vivants humains ou non, à titre personnel ou via le monde associatif, aussi bien d’un point de sociétal (lutte contre l’exclusion, décrochage scolaire, AMAP…) qu’environnemental (designer permaculture et maraichage, nettoyage de marais, ornithologie…).

« Deviens ce que tu es et fais ce que toi seul peut faire… »

Tom Howells
Designer et Compositeur
Il a créé notre logo.
 

Sa bio

From an early age I have enjoyed sketching, creating and building things. I was born and raised in Hong Kong, little did I know then that my passion would come full circle. After studying industrial design in the UK and a stint in the aerospace industry, I returned to China to work in product development, collaborating closely with the emerging economic and manufacturing superpower on a whole range of products.

From electronic items for the likes of Philips, furniture with design legend Philippe Starck, to snowboarding and kiteboarding products for market leading brands, it’s been more than 10 years packed with adventures. Traveling to factories in remote parts of Asia, and developing some excellent products with very interesting characters, has been hugely rewarding – It’s these sort of adventures in design and production that make me tick!

The return to Europe, and the establishment of ‘Howells’ is the culmination of my years in the design industry. My experience coordinating design projects from beginning to end is like no other, and I believe this differentiates me from my counterparts. That’s why it’s important to me to remain very hands-on all along a project, from concept sketches into 3D with Solidworks, creating 3D prints and models for rapid prototyping, and liaising with manufacturing to get the product to market. Berlin is the perfect place to gain inspiration, and its youthful energy drives every day forward, even in the coldest part of winter!

Jak
Dessinateur, cartoonist
Il a dessiné les personnalités D2R.

Sa bio
En attente de sa bio

Hugo Mairelle
Graphiste et Plasticien
Il a réalisé les cartes du Tarot D2R.

Sa bio
Après des études en arts visuels et quelques années d’expériences en agences dirigées par le consumérisme et le marketing dans lequel je ne me retrouvais pas, je me suis naturellement orienté vers des valeurs plus respectueuses et éthiques afin de mettre mes compétences créatives au profit de l’intérêt général et l’environnement en tant que graphiste-illustrateur.
Amoureux du vivant et de la diversité qui nous entoure, je réalise également des projets artistiques tels que le projet Être(s) qui s’inspire du masque et des peuples autochtones. https://projet-etres.com/

Vito
Dessinateur
Il a réalisé l
a fresque (Homepage).

Sa bio

Victor Locuratolo, alias Vito, est né à Lille en 1982. Diplômé en architecture et en urbanisme en 2006 (à l’ENSA de Grenoble), il travaille quelques années dans le domaine avant de se consacrer pleinement à la réalisation de livres illustrés humoristiques.

Ses thèmes de prédilection : la gentrification, l’étalement urbain, l’uniformisation culturelle, la nostalgie des sociétés traditionnelles, etc.

Vito s’inscrit  dans la lignée des dessinateurs  écologistes des années 70, pour qui le problème est avant tout une question d’échelle, et donc d’esthétique : C’est l’accélération des flux, l’individualisme forcené et la démesure matérielle qui nous privent de la beauté du monde.

Ses ouvrages ne se contentent cependant pas de dénoncer la folie consumériste contemporaine, ils proposent aussi – et avec beaucoup d’autodérision – un panel de pistes et de solutions collectives susceptibles de réinventer notre rapport à la ville et au territoire.

Désormais dessinateur régulier du journal de la Décroissance, Vito publie au printemps 2020 un quatrième livre illustré portant sur la révolution écologique, intitulé à juste titre Utopique !

Bibliographie : 

Le Paris de Vito, 2015 (autoédition). Nominé au festival du carnet de Voyage de Clermont-Ferrand

Villes Nomades, 2016  (autoédition).

Palimpseste, un regard sur la France contemporaine, 2018 (éditions Nomades). Nominé au festival international de géographie.

Utopique ! , 2020 (autoédition).

Un immense merci à nos adhérent·e·s, les Insulaires !

Merci à Sandrine, Kathleen, Alexandre, Marc, Pierre, Maxime, Franck, Guylaine, Jean-Marie, Mathilde, Derek, Maxime, Odile, Bettina, Laurent, Isabelle, Bertrand, Anne-Sophie, Alain, Dorian, Christophe, Sonia, Agnès, Claire, Séverine, Alexandre, Albert, Derek, Mariam, Frédéric, Rachel, Floriane, Florian, Albert, Joséphine, Étienne, Sidney, Martine, Arthur, Magali, Simon, Claire, Paul, François, Dominique, Boris, Damien, Thomas, Sophie, Renaud, Cyril, Dominique, Joëlle, Yves, Marie, Anne, Simon, Joannes, Christophe, Nathalie, David, Lise, Sylvaine, Jean-Marie, Maëlys, Mathieu, Jérôme, Florent, Jean-Philippe, Caroline, Yannick, Hugues, Philippe, Patrick.

Un immense merci à
toutes les personnes qui nous soutiennent financièrement
(sur HelloAsso, Tipeee ou via des dons directs) !

Merci à Denys, Solange, Jean, Alain, Bertrand, Jérôme, Brigitte, Triet, Carole et Pierre, Franzysch, Rudy, Selim, Richard, Florence, Benoit, Max et Sundari, Thierry, Florian, Mathieu, Sandrine, Jeannine, William, Catherine, Titi Kho, Jonas, Philippe, Kevin, Hugues, Vincent, Franck, Moderate, Renaud, Marie, Mathieu, Priscille, Elisabeth, Jérôme, Tite, Martine, Mathieu, le Boycott Citoyen, Permacultopia, Gloppy, Alyona, Eloïse, Agnès, Frank, Permablo, Mélanie, Sarrah, Marion, Florence, Alberto, Ridva, Ktl, François, Jeannine ainsi que Bertrand, Cédric, Frédéric, Cathy et Pierre, Claire.

Grâce à eux, nous avons récolté plus de 11 000 euros depuis le 1er janvier 2022.

Elles et ils ont fait partie de l’aventure, merci ! 😉

François Perrin
Convivialiste post-croissant

Sa bio

Je suis ingénieur environnementaliste. Âgé de 37 ans, originaire d’Alsace, formé à la viticulture et à différents métiers, je suis couteau suisse des métiers de l’environnement. J’ai plusieurs années d’expérience à différents postes transversaux. Je suis aussi éco-conseiller et je recherche un poste en CDI dans mon secteur et mon domaine (revalorisation des déchets, économie verte, production alimentaire…). La lecture de D.Meadows (Limits to Growth) en 2007 m’a tourné très jeune vers la questions des limites (géologiques, climatiques, hydro…) et des effondrements écologiques (espèces). Je vis désormais entre ville et campagne où je progresse sur un jardin en perma et un projet de jardin-forêt.

On peut m’impliquer dans les projets associatifs et les éco-lieux comme photographe-animateur-rédacteur.
Je rencontre des personnes qui œuvrent dans les alternatives (podcast « vivants). J’anime les pages de L’Archipel du Vivant sur les réseaux sociaux. Je visite des lieux alternatifs ruraux pour y tisser des liens et enrichir notre réseau. Je suis bénévole sur des festivals, des chantiers participatifs et vit de façon semi-nomade.

Photo Ivan Guyot

Nadège P-Chinchin
Exploratrice en quête de lumières

Sa bio
Farouche opposante aux injustices en tout genre, j’ai fait mes armes dans l’associatif puis/et dans l’engagement politique. Persuadée que seule l’action collective pourra faire bouger les lignes, je tente, à travers diverses démarches de sensibiliser sur les thèmes qui me tiennent à cœur (La Belle Journée, Objectifs Alti-Ligériens Zéro Déchet et belles initiatives, Adaptation Radicale).
Mariée et maman de deux enfants, je souhaite ne pas « laisser tomber » malgré une vision pragmatique de l’avenir qui se dessine pour le vivant.

Eloïse Le Roux
Harmonisatrice sociale et visuelle

Sa bio

Je suis une jeune Bretonne amoureuse de la nature et de la vie en elle-même. Passionnée d’architecture depuis toute petite, j’en ai fait mon métier. Végétarienne depuis des années, fervente partisane de la liberté, je suis profondément optimiste, réaliste et bienveillante.
Mon énergie, ma curiosité et mon cœur d’enfant m’ont appris à écouter, voir et comprendre le monde dans lequel nous sommes, pour mieux vivre en harmonie avec ce qui nous entoure : la faune, la flore, les éléments mais aussi nous-même.
Ma véritable force est ma pluridisciplinarité. En dehors du travail, que ce soit associatif, participatif ou personnel, j’aime faire de chaque moment libre un instant différent car de multiples centres d’intérêts m’animent et font de moi qui je suis : un jour historienne, un jour maraîchère, un jour animatrice, un autre jour couturière, un autre encore aventurière, ou encore artiste, boulangère, maquettiste, herboriste, bibliophile, crêpière, actrice, ludophile, bricoleuse, guerrière et j’en passe… bref je suis une bouineuse de compétition !
Nous sommes tous d’accord pour dire que le cerveau humain est complexe. Que chaque personne, depuis le plus jeune âge doit passer par des étapes importantes de la vie pour avancer. L’éveil est un terme important. La prise de conscience en est un autre. Comme beaucoup d’humains, j’ai compris que toute vie sur Terre est menacée. Aujourd’hui ce n’est plus une fiction mais une réalité visible à notre échelle et prouvée mainte fois par des astrophysiciens, scientifiques, physiciens, biologistes, ingénieurs, philosophes, anthropologues, chercheurs, etc…
J’ai donc choisi de mettre mon énergie et mes connaissances à contribution dès à présent afin que le terme « avoir un avenir » ne tombe pas en désuétude. Avec des proches, nous avons commencé par planter une forêt de chêne. S’en suis actuellement une forêt comestible de 5000 m² dans le plus grand respect d’une niche écologique présente et très variée. L’objectif est simple, il faut que ce schéma naturel et verdoyant soit présent partout ! D’où mon envie de m’investir avec l’Archipel Du Vivant.
« Dans tous les êtres vivants, de tous âges, tous horizons, toutes formes et couleurs, toutes matières et types, il est inscrit une marque indélébile, brillante et immuable ; Le lien avec la nature mère fait partie de tout depuis la nuit des temps. C’est en respectant la nature que nous respectons notre nature »

Photo Soufiane Kania-Kharroubi

Thierry Raffin
En quête de Reliance
à l’Anima Mundi

Sa bio

2006, l’année où ma représentation du monde a basculé. Je prends conscience de ce que nous appelons aujourd’hui l’urgence écologique.

Je suis né en 1973. Comme de nombreux français, j’ai des racines paysannes et j’ai grandi dans un lotissement, à mi-chemin entre la campagne et la ville. Curieux et ouvert d’esprit, j’ai souhaité partir à la découverte du monde et j’ai étudié puis travaillé dans différents pays. J’ai aujourd’hui un fils de 9 ans bilingue.

Que faire ? en 2006, ma vie était tournée vers l’interculturel, le commerce international et je comprenais alors la nécessité de relocaliser nos activités, se rapprocher de nos racines, simplifier nos modes de vie, apporter ma contribution.

2011 : pas si facile de trouver un métier à plus-value environnementale ! en attendant je commence à cultiver mon jardin, bio bien sûr !

2012 : je m’engage dans un mastère spécialisé d’éco-conseiller pour devenir acteur de la transition écologique.

2014 : je me lance en tant qu’entrepreneur, gérant et co-fondateur d’une filière solidaire de recyclage de déchets de bureau

2020 : en phase avec les ruptures actuelles, je suis désormais de nouveau à la croisée des chemins et continue de travailler sur ma cohérence personnelle, notamment en m’engageant dans l’Archipel du Vivant et après avoir suivi plusieurs formations, notamment en communication non violente. J’aspire à un monde plus en paix, plus harmonieux. Revenir à mes racines, me rapprocher de notre terre nourricière.

Pour moi, prendre conscience de l’urgence écologique, c’est concentrer tous ses efforts sur l’essentiel. Et petit à petit, laisser derrière soi le superflu.

« Soyons le changement que nous voulons voir dans le monde. » Gandhi

Photo Ivan Guyot

Mathilde Fiatte
Yogini
enragée & engagée

Sa bio

Cofondatrice du projet d’écohameau de l’Oasis des Âges, je suis convaincue que seules des transformations radicales de nos modes de vie et modèles pourront nous permettre de limiter les dégâts causés par les humain·es sur la Terre et le Vivant. Ce postulat peut sembler lourd, mais il a provoqué des changements dans ma vie qui me font me sentir aujourd’hui plus alignée et vibrante que jamais !

Mes années parisiennes dans l’événementiel sportif en parallèle de nombreuses prises de conscience écologiques et féministes ont progressivement nourri une dissonance cognitive qui m’a motivée à quitter définitivement la ville, à m’informer, me former, m’engager et militer, à rencontrer des personnes inspirantes, à ressentir la force de la coopération et du collectif, à me sentir appartenir et contribuer au quotidien.

Je me sens vivante lorsque je mets mon énergie au service de la beauté de ce monde et des animaux non humain·es qui m’entourent, et cette joie n’a d’égale que ma colère envers le système néolibéral, capitaliste, patriarcal, oppressif et spéciste dans lequel nous nous enlisons.

Fascinée par le mouvement, je suis également professeure de yoga fonctionnel : loin des injonctions esthétiques ou de performance, je souhaite ouvrir mes cours à toustes dans un cadre sécurisant, inclusif et joyeux !

Photo Ivan Guyot

Ivan Guyot
En transition vers un monde décroissant !

Sa bio
Une conscience environnementale affutée, un grand respect des espaces naturels et de tous les êtres vivants qui les peuplent, un besoin de vivre au contact de la nature, au rythme des saisons et de leurs climats. Le constat visuel, en moins d’un demi-siècle, des dégâts de l’humain. Une vie en ville ou dans des campagnes proches, abîmées par un urbanisme délirant et une agriculture productiviste écocide. Un métier administratif et financier déconnecté du Vivant, à exercer toute l’année et par tous les temps, de jour comme de nuit, sous un rythme circadien essentiellement sociologique, sans avoir la possibilité de s’émerveiller du bleu du ciel, des giboulées de Mars, d’un ver luisant, du croassement des grenouilles au printemps, de la beauté d’un flocon de neige, de la rosée du matin sur une toile d’araignée. De belles rencontres, des lectures, des vidéos, des podcasts… Et une bonne pandémie pour compléter tout ça.

Un jour, forcément, je me suis dit : fuck. Il faut tout reprendre à zéro.

A part ça, divorcé, 3 formidables garçons de 23 à 30 ans qui vivent à Ottawa, Lyon et Strasbourg, et qui suivent avec curiosité et intérêt l’évolution de leur Papa.

Photo Soufiane Kania-Kharroubi

Bettina Geoffroy
Aventurière optimiste

Sa bio

Ma vie professionnelle a débuté dans un univers plutôt conventionnel (média, agence de communication, institution). Au fil du temps, des questions n’ont cessées de m’envahir : quel est le sens de mon métier de communicante, quel est mon rôle dans la société, pourquoi je n’arrive pas à me conformer à ce système métro-boulot-dodo, pourquoi continuons-nous tous à vivre en ignorant totalement les défis écologiques et sociaux qui sont face à nous ? J’étais en cruel manque de sens et d’engagement, révoltée contre l’inaction générale.
J’ai commencé à agir en mettant mes compétences et une partie de mon temps au service d’associations sociales en France et à l’étranger. Puis c’est un besoin de changement de vie qui s’est imposé à moi, une vie qui concilie mes valeurs, mon envie de changer les choses, ma vie personnelle et ma vie professionnelle.

En rejoignant l’Archipel, je deviens communicante au service du Vivant et je me sens, enfin, alignée ! J’ai la chance immense de vivre à mon rythme : une vie engagée, libre, tournée vers les autres et la nature.

Aventurière optimiste, je ne suis jamais aussi heureuse qu’au bord d’un lac au milieu de la forêt, après une journée de randonnée. J’adore vivre de longues aventures déconnectées à pied, en bus ou à vélo. Prendre mon temps pour explorer le monde, admirer ses singularités et rencontrer ses habitants ont été le terreau de ma détermination à protéger notre planète et le Vivant !

Photo Soufiane Kania-Kharroubi

Soufiane Kharroubi
Développeur web engagé

Sa bio
J’habite en Pologne à la suite d’une année d’erasmus pendant laquelle j’ai rencontré ma voisine avec qui je viens de me marier 🙂

Je suis passionné de physique, gymnastique et randonnée. Après une découverte progressive mais néanmoins violente de l’effondrement en cours, j’ai décidé d’utiliser mes compétences à la diffusion de contenu sur l’écologie et l’effondrement en Pologne

Jérôme Fonteneau
Coach en transformation

Sa bio

Psycho-sociologue des organisations et du travail, mon chemin a très tôt rencontré les perspectives de « l’anthropologie de la nature » de Philippe Descola à travers Les lances du crépuscule.  Je racontais alors à mes filles toutes jeunes que des Indiens Achuar parlaient véritablement aux  pécaris et aux toucans, que la « nature »  pouvait être pensée autrement. Elles m’en parlent encore… Cela s’accordait aussi avec ma passion pour la philosophie stoïcienne et l’Âme du Monde mise à son soubassement.

Dune a aussi marqué mon « imaginaire » , après Fondation d’Asimov et Le monde du non-A de AE. Van Vogt, mais aussi Le cycle d’Ender de Orson Scott Card durant mon adolescence. Durant mes années lycée, j’ai lu aussi pratiquement à sa sortie Les limites à la croissance de Dennis Meadows en l’empruntant à la bibliothèque. Je crois que je l’ai lu comme un livre de science-fiction… pour m’apercevoir bien plus tard que l’anticipation était réelle …

Mon itinéraire intellectuel m’a fait passer aussi par les chemins du constructivisme avec Les mots et des choses de Foucault, Les économies de la grandeur de Luc Boltanski et plus tard  l’Enquête sur les modes d’existence de Bruno Latour.

Très tôt je me suis engagé dans l’action pour l’information citoyenne, en co-fondant l’association Inf’OGM – avec Greenpeace, la Confédération Paysanne, à l’époque de José Bové et des faucheurs d’OGM –  appuyée par la fondation Charles Léopold Mayer.  Je me suis ancré aussi sur mon territoire communautaire en Bretagne à travers la structuration du Forum Citoyen pour le développement de la démocratie participative au niveau local…  chemin qui reste laborieux !

Aujourd’hui à la retraite, grand-père de 4 petits-enfants, « Sur-Vivant » , je m’occupe … :

  • de mon potager en permaculture hérité de ma fille Marine qui s’y est formée et aujourd’hui est experte sur les questions de l’eau et vit en yourte avec son compagnon et Isaïah mon petit-fils sur les bords de la Rance,
  • de philosophie avec les enfants dans le cadre de l’Association Mycélium que j’ai co-fondée avec l’équipe cœur en Bretagne de SEVE (Savoir Etre et Vivre Ensemble – association fondée par Frédéric Lenoir et Martine Adam-Roussel),
  • d’un projet de kit pédagogique de fiches philo avec les enfants sur la question de « Changer le monde est-ce possible ? »,
  • de contribuer à la structuration du mouvement francophone de l’Adaptation Radicale où je participe au cercle des Tisserand.e.s qui m’a permis de rencontrer Jean-Christophe.

Sur un autre volet, je suis Instructeur de méditation de pleine présence et j’ai fondé l’association En-Vie de Bien Être pour enseigner cette pratique :

  • je tiens un blog sur ces questions : https://enviedebienetre.wixsite.com/enviedebienetre/blog
  • je participe au groupe des Reliances sophrologiques de Gilles Pentecôte et à la structuration d’un groupe de professionnels de l’accompagnement des personnes atteintes par l’éco-anxiété.
  • je co-anime le  café solaslagie de Guingamp Climat et le Web-Papotage de l’Adaptation Radicale

Ce chemin  me conduit « naturellement » à rejoindre L’Archipel du Vivant,  avec cet objectif de co-dessiner les nouvelles cartes du monde, « de retisser ensemble la trame du tissu déchiré du monde » pour reprendre la belle expression du philosophe  Abdennour Bidar.

« En te levant le matin, rappelle-toi combien précieux est le privilège de vivre, de respirer, d’être heureux. »  Marc Aurèle – Pensées pour moi-même

Naomi Simeon
Féministe actrice du changement

Sa bio

J’ai toujours été sensible à notre rapport au vivant. J’ai toujours ressenti que nous vivions dans un monde étrange, inadapté, déshumanisé. Après avoir passé un an en classe préparatoire Bcpst, j’ai voulu agir plus concrètement dans ce monde, trouver ma place. Je suis donc partie en Roumanie pour un service civique. J’ai pu me rendre compte de l’injustice sociale, des inégalités existantes, du dysfonctionnement d’un système. J’ai continué ma voie dans la biologie pour terminer mes études avec un master pluridisciplinaire en environnement : Giebiote. J’ai compris que beaucoup de choses « essentielles » n’étaient pas clairement évoquées ou explicitées. J’ai reçu comme cadeau le livre de Pablo Servigne Comment tout peut s’effondrer, je l’ai lu difficilement, comprenant que tout était lié, que nous avions abusé de ce mode de vie. Aujourd’hui je me considère comme une féministe actrice du changement et une amoureuse du vivant. J’apporte ma contribution, je suis végétarienne, j’aspire à vivre simplement, même si mon choix de vie n’aura peut être pas d’impact. J’ai été membre d’Alsace Nature (France Nature Environnement).
J’aime méditer, dessiner, l’art est selon moi une porte de sortie de ce monde de fous. J’agis maintenant notamment dans ce beau projet de l’Archipel du Vivant une utopie concrète, un rêve éveillé mais lucide.

  

 

 

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